Aurélie 5
Datte: 07/07/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... devant de son sous-vêtement.- Tu m’as excitée, salope. Maintenant, suce-moi la chatte, dit-elle d’une rauque de plaisir, fais-moi jouir.Je ne me le fis pas dire deux fois. Je m’approchai de son entrejambe, respirant à plein poumon l’odeur de son excitation. Puis, d’une main, j’écartai le slip et commençai à lécher son bourgeon turgescent. Aussitôt, elle réagit en cambrant les reins. Ma langue monta et descendit tout le long de sa fente, s’arrêtant un instant, le temps de titiller le clitoris, puis repartait vers le bas. Les coups de reins de ma maîtresse en disaient long sur son appréciation et bientôt, elle se mit à haleter. Je ralentis mes caresses pour faire durer le plaisir, mais bientôt, elle ne put se retenir. Je sentis un liquide chaud, poivré se diluer sur ma langue. Je plaquai ma bouche sur sa chatte afin de ne pas en perdre une miette. Véronique jouit longuement dans ma bouche, inondant mon menton de cyprine. Lorsqu’elle se calma, je continuai un moment à la lécher. Elle finit par dire :- Arrête, maintenant, cela suffit.- Bien maîtresse. Je vais débarrasser la table.Je me mis au travail. Lorsque j’eus fini, ma maîtresse, toujours assise dans le fauteuil, mais dans une position plus classique, me demanda :- Tu as apprécié cette soirée ?- Oui maîtresse. Beaucoup !- Beaucoup ?- Oui, à présent, j’aime être baisée, être une chose pour les autres, prises par tous les trous, recevoir du sperme partout ! j’aime être une salope, votre salope, maîtresse.- Eh bien, dis donc, ...
... que de changement en si peu de temps.- Oui maîtresse, ceci grâce à vous. Soyez-en remerciée. Je me donne à vous, corps et âme. Vous pouvez faire de moi ce que vous voulez, j’obéirai.- Oui, nous verrons. Qu’as-tu pensé de l’attitude de Solène ?- Je ne sais pas maîtresse. Il n’est pas de mon ressort de penser, je ne suis là que pour vous chérir et vous obéir !- Peut-être, mais là, je te demande ton avis !- Elle a semblé troublée par ma situation, maîtresse. On aurait dit qu’elle voulait être à ma place, ou plutôt, avec moi. J’ai vu que vous l’aviez remarqué, maîtresse.- Ainsi, tu l’as senti.- Oui maîtresse. Je peux vous dire que lorsque je me suis glissée entre ses cuisses pour la lécher, elle était particulièrement excitée. Sa culotte était mouillée et je sentais son odeur. D’ailleurs, elle m’a affolée et excitée comme jamais. Entre autre, elle n’a cessé de me fixer tout le temps durant lequel j’ai été le jouet des trois hommes. Elle passait son temps à frotter ses cuisses l’une contre l’autre. Peut-être s’est-elle-même laisser aller à jouir, mais cela, je ne peux en être certaine.- Tu as donc constaté la même chose que moi. Aimerais-tu avoir une compagne ?- Je vous ai déjà vous, maîtresse.- Bien sûr, mais je veux dire, une compagne de soumission !- Qu’il en soit fait selon votre désir, maîtresse !- Je vais y réfléchir. Allons dormir, Cybèle. Il est très tard.- Oui maîtresse, bonne nuit maîtresse.Véronique quitta le salon et j’entendis bientôt la porte de sa chambre se fermer. ...