1. Une leçon d'histoire naturelle


    Datte: 08/07/2018, Catégories: fh, fagée, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral préservati, zoo, délire, humour,

    ... pour le bien de la science. Si ses larmes sont trop abondantes, à l’eau de son abreuvoir ajoutez quelques gouttes d’armagnac, l’alcool venant facilement à bout des pires dérélictions (du latinderelictio). Alors, me direz-vous, comment le faire couver ? Pour avoir pratiqué diverses méthodes, nous sommes en mesure d’affirmer que confier cette tâche à un quelconque animal conduit immanquablement à un cuisant échec. L’utilisation d’une couveuse artificielle, procédé par trop simpliste, donne des résultats décevants car l’embryon a besoin de ressentir, en plus de la chaleur des chairs intimes aptes à le recouvrir, quelques mouvements propres à la vie. Je ne saurais donc trop vous conseiller la méthode suivante qui, à ce jour, a donné la plus durable satisfaction. Vous devez bien disposer, dans votre entourage, d’une dame d’un certain âge. Délaissée par son mari, ses amants, ses partenaires de bridge ou de belote et finalement déçue par divers ustensiles ou légumes de forme oblongue, elle a fini par se résigner à l’abandon de toutes les joies de la chair. Son vagin s’en est trouvé rétréci à l’extrême. Mais n’allez pas y fourrer bêtement l’œuf, sans autre forme de procès. L’abondante cyprine bientôt sécrétée par la dame en question ne manquerait pas de dissoudre la délicate enveloppe de l’embryon. Ce dernier, abondamment nourri de cette liqueur par trop roborative (du latinroborare) ne tarderait guère à grossir démesurément. La vigueur de ses mouvements, fort agréables à la dame, ...
    ... entraînerait dans l’intimité de celle-ci des bouleversements oubliés depuis longtemps. En resserrant à outrance ses muscles vaginaux, elle interdirait toute sortie à l’animal qui finirait par mourir d’épuisement en raison des gestes désespérés qu’il ferait pour gagner l’air libre. La dame, devenue sexuellement insatiable, exigerait très vite un autre œuf et vous n’en sortiriez pas, vous non plus. Vous préférerez donc vous servir intelligemment du vagin de la dame. Inutile de lui faire de fausses déclarations d’amour, elle est revenue de ces fariboles depuis longtemps. Dites-lui la vérité, tout simplement, à savoir qu’elle œuvrera pour la science mais y trouvera quelques jouissances qui seront son équitable rémunération. Glissez l’œuf dans la partie ultime d’un préservatif, nommée réservoir (du latinreservare). Point n’est besoin que ce préservatif - que d’aucuns se plaisent à nommer capote - anglaise en France et française en Angleterre - point n’est besoin, dis-je, qu’il soit vierge de toute souillure. Bien au contraire, il est souhaitable qu’il vienne d’être utilisé, et cela pour deux raisons. La première, c’est que le fait qu’il soit oint de la cyprine de votre collaboratrice préférée, ce matin-là, facilitera sa mise en place dans le vagin beaucoup trop sec de la dame d’un certain âge. Pour cette intromission, vous pouvez faire appel à un mâle de votre connaissance, pas trop puissamment membré cependant en raison de l’étroitesse du conduit. L’érection de l’opérateur sera ...
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