1. Nuit Nordique


    Datte: 08/07/2018, Catégories: Anal Gay Masturbation

    ... grosses goûtes de mouilles qui perlaient de son gland pour les étaler sur l’œillet d’Ulrich et faciliter l’entrée de son doigt.Kalle finit par le retourner et attirer à lui les petites fesses marmoréennes, bombées comme des collines. Il les écarta avec les battoirs qui lui servaient de mains et mit le trou à nu. L’orifice était déjà légèrement distendu, mais il restait tout de même étroit. Le forgeron fit courir ses doigts sur son gland et préleva le liquide translucide qui en suintait. Ulrich faisait des miracles sur sa verge, c’était presque comme s’il essayait de le traire ; ses bourses n’avaient jamais fourni autant de lubrifiant. Il s’en servit donc pour insérer plus franchement ses phalanges dans les entrailles de son partenaire ; il fit pression sur le trou, qui s’ouvrit sous l’assaut du viking et laissa entrer ses doigts puissants. Ils étalèrent consciencieusement le liquide, avant de ressortir pour cueillir un autre filet translucide au bout du gros éperon nordique. Ulrich poussait des gémissements et respirait par saccades. Kalle, quant à lui, grognait de plaisir.Le moment fatidique arriva enfin. Le corps du viking vint recouvrir celui de son invité. Son torse massif se posa en douceur sur le dos pâle d’Ulrich ; les poils blonds qui tapissaient sa peau frottèrent contre celle du jeune homme. Ce dernier écarta ses globes de chairs tandis que l’énorme verge de Kalle glissait dans sa raie. Uniforme, trapue et gorgée de sang, elle étalait du pré-sperme dans la ...
    ... crevasse imberbe, jusqu’à ce que le gland accroche l’entrée délicate. D’un mouvement ferme, le forgeron appuya sur son organe, qui écarta la rosette et s’enfonça dans les entrailles d’Ulrich. Le garçon dut enfouir son visage dans la peau d’ours pour étouffer un cri de douleur. Il encaissait le harpon du mieux qu’il le pouvait, mais l’instrument était quand même massif – autant que l’homme à qui il appartenait. Kalle poussa davantage sa virilité, arrachant de nouveaux cris à son partenaire. Le boyau étroit s’écartait pour laisser passer le gland du nordique, non sans souffrance. Après ce qui sembla une éternité, l’épaisse toison pubienne vint frotter contre les fesses blanches. Ulrich souffla un grand coup. Il essayait de se faire à cette sensation : son rectum était plein – trop plein. Il y avait trop de Kalle en lui. Comme si ce n’était pas suffisant, le viking mit son braquemart en branle. Il tira son bassin en arrière et fit ressortir une partie de sa verge – Ulrich crut bien que son intestin allait partir avec. Il eut à peine le temps de soupirer que le harpon revint à la charge. Une fois. Deux fois. Et ainsi de suite.Les va-et-vient du forgeron étaient amples et puissants ; il se retirait jusqu’au gland, avant de se renfoncer avec vigueur dans le corps marmoréen. Ulrich couinait sous lui. Pourtant le viking n’y allait pas violement ; il bougeait ses hanches avec lenteur, ce qui décuplait son plaisir et celui de son partenaire. Car si la douleur ne s’était pas entièrement ...
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