Nuit Nordique
Datte: 08/07/2018,
Catégories:
Anal
Gay
Masturbation
... ses hommes, mais il connaissait aussi la force implacable des mastodontes des grandes forêts du Nord.Une fourrure blanche, scintillante, baignée par la lumière de la lune – l’a****l ressemblait presque à un gros rocher recouvert de neige. Il se fondait à la perfection dans ce paysage immaculé. Son arrière-train atteignait presque les premières branches des pins et, dressé sur ses pattes arrières, il dépassait le plus grand des guerriers d’au moins un mètre ou deux. Chacun de ces vikings était une montagne de muscles, et pourtant un frémissement imperceptible parcourut leurs rangs. Ils levèrent tous leurs lances au signal de Harad, prêts à abattre l’a****l avant qu’il ne puisse se rendre compte de leur présence.Mais au dernier moment, le chef de Vormir retint son geste. La truffe de la bête frottait le sol ; il avait brisé le verglas et fouillait la neige – dans cette position, il ressemblait plus à un loup ou un chien. Une chose retenait toute son attention. Faute de pouvoir s’avancer davantage sans mettre sa vie en danger, Harad patienta quelques secondes, jusqu’à ce que la gueule de l’ours émerge du trou, un bras entre les dents.Fait rare lorsqu’on parle des ours du Nord, ce bras semblait encore rattaché au reste d’un corps. Sans plus hésiter, le chef donna l’ordre à ses hommes et les traits argentés fusèrent dans la nuit. Quelques-uns vinrent se briser contre l’écorce gelée, mais la plupart se fichèrent dans la fourrure de la bête. Seules deux ou trois lances percutèrent ...
... l’a****l avec suffisamment de force pour entailler sa peau. La bête poussa un grondement terrible ; les pins en tremblèrent et lâchèrent des trombes de neiges sur la tête des guerriers.Les yeux rouges et furibonds se braquèrent sur le viking le plus exposé. Le monstre se rua vers lui. Il se dressa sur ses pattes arrière et leva des griffes acérées, mais avant qu’il ne puisse fendre l’air et infliger un coup mortel, une lame de plusieurs centimètres lui transperça flanc, s’enfonça profondément dans sa chair et le fit reculer. Il tituba sur quelques mètres, répandant une traînée de sang derrière lui, avant de s’effondrer sur le sol et de s’abandonner à une courte agonie. L’homme qui venait de frôler la mort vacilla jusqu’au pin le plus proche. Malgré ses cuisses imposantes et sa large carrure, son visage taillé à la serpe montrait un effroi sans limite ; ses jambes flageolaient et il semblait prêt à retourner téter le sein de sa mère en pleurant.Harad s’approcha prudemment de l’a****l vaincu et récupéra son épée – une lame épaisse et puissante, fabriquée sur-mesure par le forgeron du village, Kalle. Il irait le remercier dès qu’ils seraient rentrés à Vormir, sans faute. Mais pour le moment, il avait un autre problème à gérer. Quelques vikings s’étaient réunis autour du trou que l’ours avait creusé. Il y avait bien un homme là-dedans – enfin, il ressemblait plutôt à un petit garçon. Harad crut d’abord à un enfant : il était fin et vulnérable, dépourvu de muscles épais ou de barbe ...