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La confirmation
Datte: 24/07/2017, Catégories: fh, fhh, hplusag, extracon, voisins, campagne, danser, fête, humilié(e), jalousie, 69, pénétratio, fsodo, amourdram,
... enfin à ce que je faisais et pour continuer à "casser" mon image je lui racontai que j’étais sorti faire du sport et que j’allais retrouver mes amis motards. Mais j’enchainai vite pour lui dire que j’avais hâte de la revoir et régler avec elle les détails de la fête que l’on organisait le samedi suivant. Elle répondit, mais je sentais bien qu’elle était loin d’être au clair dans sa tête. En plus, elle était censée être dans son appart de fonction le mercredi soir et quand j’appelai, le téléphone sonna dans le vide jusqu’à tard dans la soirée… C’était peut-être pas gagné… Elle rentra le vendredi soir de bonne humeur. Après une soirée enfin détendue dans laquelle j’évitais de parler de mes coups de fils sans réponse du mercredi. Elle partit se doucher. Lorsqu’elle en sortit je l’enlaçai et je la portai nue sur la couche conjugale, naturellement. Je remarquai alors qu’elle avait intégralement… perfectionné son bronzage. Elle prétendit qu’elle faisait ça dans son jardin du logement de fonction. Je ne relevai pas… et je préférai partir dans un jeu d’exploration coquine des endroits non encore bronzés. Il faut reconnaitre qu’ils étaient rares… Elle se laissa examiner… partout, sans aucune pudeur. Très excités l’un et l’autre on fit l’amour presque violemment. Et manifestement elle aimait ça. Elle n’avait pas oublié sa promesse. Cambrée, le regard trouble, elle me dit… "Encule-moi !" Pour la première fois, je frottai mon gland humide sur son petit anneau. Elle simula un peu en ...
... disant « doucement, c’est la première fois », mais je savais bien qu’elle était désormais habituée à ce genre d’assaut. Tout juste un petit cri au moment où le gland franchit le premier rempart et, très vite, ses hanches se mirent à onduler pour m’attirer au plus profond d’elle-même. Manifestement, le professeur Jean-Pierre avait dû lui donner plusieurs leçons. Je chassai cette pensée pour me concentrer sur notre plaisir qui fut au rendez-vous. Elle s’endormit lovée contre moi. Au matin, on se retrouva heureux au petit déjeuner. J’étais en train de penser que tout allait s’arranger quand le téléphone sonna. Elle décrocha et revint souriante. — C’était qui ?— C’était JP.— Ah, il fait beau chez lui ?— Euh.,. En fait il est chez sa vieille tante, tu sais celle qui habite dans le village à côté de la maison de campagne de maman.— …— Il devrait passer ce soir pendant la fête…— … Je feignis l’indifférence et même la joie. J’avais peut être vendu la peau de l’ours bien trop vite… La grande maison de campagne de ma belle-mère est située dans un tout petit hameau quasiment abandonné. Seuls trois couples y vivent encore : l’agriculteur du coin, des retraités et un type bossant à GDF mais vivant là en bon écolo. Moustachu, rugueux, mais sympa. Ma chère et tendre avait décidé de l’inviter pour entretenir les bonnes relations de voisinage. La fête débuta bien. J-P n’était pas encore là contrairement à Y. avec laquelle j’échangeai des mots et des sourires aimables. Comme en Corrèze, je me ...