La confirmation
Datte: 24/07/2017,
Catégories:
fh,
fhh,
hplusag,
extracon,
voisins,
campagne,
danser,
fête,
humilié(e),
jalousie,
69,
pénétratio,
fsodo,
amourdram,
... démenai pour animer la soirée au grand étonnement de mes amis, pourtant ravis. On se croisait avec ma douce, tous les deux afférés à servir et restaurer les copains et le voisin. Tout allait bien. Je dansai avec Yvette sans m’attirer les foudres de nos conjoints respectifs. Je compris la bienveillante indulgence de Carole quand je vis ma douce se précipiter vers la porte. Jean-Pierre venait d’arriver… L’attitude de ma chérie changea radicalement. Elle commença à négliger ses amis à tel point qu’Yvette et une autre amie le remarquèrent. Alors que la musique et les danses battaient leur plein, contrairement à son habitude, elle était restée assise dans un coin à bavarder avec Jean-Pierre et Alain le voisin (un quadra avancé lui aussi). Par curiosité je m’approchai et je me joignis un temps à la conversation. Le voisin expliqua qu’il était en train de monter un élevage de moutons et qu’il restaurait une bergerie non loin du hameau. Jean-Pierre et lui parlèrent technique de restauration sous l’œil admiratif de ma belle. Pas de quoi s’inquiéter, d’autant plus qu’elle me lança un petit clin d’œil complice. Je les laissai donc ensemble, bien naïf une nouvelle fois. Yvette étant seule aussi, j’en profitai pour bavarder de manière de plus en plus complice avec elle. J’étais bien. Je bus un peu, juste pour être gai. Je remarquai juste que de l’autre côté de la pièce, Jean-Pierre et Alain avaient attaqué une bouteille de gnôle avec Carole qui semblait un peu pompette. Une farandole se ...
... forma, Yvette et moi fûmes emportés à tourner dans la maison et en dehors. Ça dura combien de temps dans la nuit, je ne sais plus. J’en profitai pour entraîner Yvette derrière un mur. Elle ne sembla pas surprise lorsque je la plaquai contre la pierre pour l’embrasser. Je partis très vite à la découverte de ses trésors, de ses seins lourds qu’elle avait volontairement, m’avoua-t-elle, laissés libres sous son chemisier. Cette étreinte ne pouvait durer trop longtemps. C’était trop risqué. Son mari pouvait surgir à tout moment. On dû se résoudre à rejoindre la farandole. Quand celle-ci prit fin, on regagna l’intérieur, essoufflés. Je m’aperçus que le coin occupé par ma douce et ses deux complices était vide. Seuls restaient une bouteille d’eau de vie bien entamée et trois verres vides. Je la cherchai… ou plutôt, je les cherchai… Yvette n’avait rien vu non plus et comprenait mon désarroi. C’est Chantal, une autre amie qui n’était pas dupe qui finit par me dire : — Ils sont partis voir la bergerie. Tu devrais y aller car elle avait du mal à marcher…— …— T’inquiète pas, je vais gérer ici, personne ne verra rien. Je me mis à courir vers la bergerie, mais en même temps la petite voix me dit de me calmer qu’encore une fois à vouloir aller au clash je pouvais tout perdre car rien n’était fait avec Yvette. Je ralentis donc l’allure. La bergerie était là, à l’écart de la route. Une lueur de lampe à pétrole semblait l’éclairer. Là encore, il y avait un petit fenestron derrière. Il était ...