La confirmation
Datte: 24/07/2017,
Catégories:
fh,
fhh,
hplusag,
extracon,
voisins,
campagne,
danser,
fête,
humilié(e),
jalousie,
69,
pénétratio,
fsodo,
amourdram,
... ouvert… Et les hostilités semblèrent sur le point de démarrer. La visite était finie. Jean Pierre la tenait par la taille. Mais elle sembla vouloir rentrer. — Allez, on repart.— Mais non, on a bien cinq minutes.— Ils vont nous chercher partout.— Tu parles, avec la farandole et après le feu d’artifice, ils vont même pas s’apercevoir qu’on est partis.— Non allez, il faut que j’y aille, on se retrouve là-bas. Jean-Pierre la retint par un bras. — D’accord, mais un petit bisou avant alors ?— Ok allez. Voilà.— Mieux que ça… comme quand on est tous les deux. Elle regarda le voisin. Alain sourit : — T’inquiète pas. Jean-Pierre m’a expliqué. Je dirai rien. Je serai à sa place je ferais pareil. Elle hésita puis embrassa Jean-Pierre sur la bouche. Elle s’abandonna un peu. Il en profita pour la peloter en relevant sa robe d’été. Elle se dégagea en riant. — Allez, je file, sinon je ne sais pas ce qui va m’arriver. On se retrouve là-bas ?— Mais tu sais, il ne peut t’arriver rien que du bien, ici… N’est-ce pas Alain ?— Bien sûr, on passe une bonne soirée tous les trois, non ? Ce serait dommage de la terminer si vite.— On va attendre un peu. Alain doit encore avoir des choses à te montrer. On partira quand on entendra le feu d’artifice. Comme ça, ils ne s’apercevront même pas de notre retour. Je pus voir Jean-Pierre presque en face de moi pendant qu’il disait ces mots. Je revis ce regard vicieux que j’avais surpris en Corrèze… Il s’approcha en silence et vint de nouveau enlacer Carole ...
... Pendant ce temps Alain verrouilla la porte. Les hostilités ne faisaient en effet que commencer… J’avoue qu’à cet instant je ne savais plus trop quoi faire. Les idées se bousculaient dans ma tête. Fallait-il intervenir ? Si j’intervenais, quelle serait la réaction des mecs et de ma femme ? J’étais tétanisé. Alain s’approcha du couple enlacé. Il se colla à Carole. Elle était maintenant coincée entre les deux types qui ne se gênèrent pas pour la peloter. Elle murmura des « Non… allez… soyez sages… non laissez-moi » sans conviction. Mais les mecs ne semblèrent pas convaincus. Jean-Pierre continua à lui prendre la bouche. Alain souleva ses cheveux et l’embrassa dans le cou. Dans la faible lueur de la lampe à pétrole je vis les trois corps collés les uns aux autres. Je vis surtout que celui du milieu ne se tordait plus comme au début. Le silence s’était fait. Ma chérie semblait domptée… Quatre mains couraient sur son corps. La tête en arrière elle embrassa maintenant Alain pendant que Jean-Pierre déboutonna sa robe. Il sembla très sûr de lui et d’elle. Il se retira et fit faire la même chose à Alain. Ils étaient tous les deux devant la porte. Elle, éperdue, le regard vague, la robe ouverte, appuyée contre une vieille échelle les regardait, essoufflée, semblant étonnée de cette pause mais elle devina vite qu’ils n’en resteraient pas là. Et moi, la boule au ventre, je compris aussi qu’elle n’attendait qu’une chose, c’est d’obéir à son amant. Jean-Pierre la regarda : — Montre-nous comme tu ...