La confirmation - Histoires de Sexe

La confirmation

... es belle. Fou de rage, je la vis faire glisser sa robe presque sans hésitation. Il ne lui restait que sa culotte. Alain la regarda, fou de désir. Il n’en pouvait plus. Il s’approcha, la plaqua contre l’échelle. Elle ne résista plus. Je vis ses cuisses s’ouvrir quand la main d’Alain glissa dans la culotte. Il se tourna et dit à son camarade : — Elle en a envie, la coquine. Elle ondulait maintenant sur la main qui la caressait. Alain lui baissa la culotte, la mata. Puis il dit : — Hum… tu es toujours aussi poilue… j’adore. Mais pourquoi avait-t-il dit ça ? Je m’enfonçai encore un peu plus. Mais qu’ont-ils fait ensemble ? Je devenais fou. Alain continua à s’affairer entre ses cuisses. Elle gémit, se cambra. Alain s’adressa à JP : — Tu vois elle aime toujours mes doigts, mais ce soir, elle va avoir plus. Ça fait treize ans que j’en rêve.— Ah bon ? Alors ça fait treize ans que vous avez fait connaissance ? Derrière le mur, je n’en crois pas mes oreilles. J’essaie de calculer. Elle devait avoir quinze ou seize ans. Elle ne m’en a jamais parlé. Jean-Pierre s’est approché près de l’échelle. Alain continua à la besogner. — Décidemment, c’est toujours dans un bâtiment, avec toi.— … Il rit. — Mais là, je vais pouvoir aller plus loin. Ton petit mari ne viendra pas te chercher comme ta mère, l’autre fois. Jean-Pierre lui caressa doucement les cheveux pendant qu’Alain lui malaxait les seins. Elle ondula, eut du mal à tenir debout. L’alcool faisait son effet. Les hommes se firent un clin ...

... d’œil… Alain la prit dans ses bras, la souleva et la coucha sur la table. Une conversation surréaliste s’engagea entre eux… Elle est nue, cuisses écartées, impudique, totalement offerte à la merci de ces deux pervers et moi je ne bougeais pas, j’avais honte mais la petite voix persistait à me dire, laisse faire… si tu l’aimes. Il faut que ce soit elle qui décide d’arrêter ça et peut-être qu’elle n’a pas touché encore le fond. Alain glissa une langue dans sa fente, elle gémit, se tordit. Jean-Pierre rit : — Continue, elle adore ça. Je lui ai appris plein de choses. Elle était bien sage avec son petit bourge de mari.— Tu parles ! Ça a dû la changer et encore je l’ai trouvé moins con (eh bien j’en prends pour mon grade).— Alors, vous avez fait des bêtises tous les deux (rires). En s’adressant à ma chérie : — On lui raconte ? Elle murmure un… "si tu veux…" à peine audible… Alain s’est relevé… il baissa son pantalon… Je dus reconnaître que, comme Jean-Pierre, il était mieux « outillé » que moi. Il s’amusa à frotter son gland sur son clitoris. Elle se cambra sur la table. Son ventre se creusa. Il la provoqua : — Tu la veux maintenant ? Gémissements… — Alors… dis-moi que tu la veux.— Oui… je la veux. Il s’enfonça brutalement en elle. — Tiens, petite coquine… Treize ans que j’attends ça ! Avec son air vicieux, Jean-Pierre la regarda se faire prendre. Il avait l’air satisfait. Elle se laissa faire totalement. Elle subit les assauts d’Alain en se cambrant, en gémissant, ventre creusé, ...