vive les fêtes ratées (2)
Datte: 09/07/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... de mon majeur. Avec ces doigts, je pouvais sentir mon sexe en elle a travers la paroi de son vagin. Je la pénétrais deux fois. Ma sœur se pencha un peu plus en avant et saisit elle-même ses fesses dans chacune de ses mains, les écartant pour m’inviter à aller plus profondément. On ne pouvait que répondre à une telle demande et j’appuyais mes mouvements, donnant un léger mouvement rotatif à ma pénétration. Pour pouvoir me concentrer, adopter une position plus confortable et donner plus de place à mes doigts dans son anus, je retirais ma bite de sa chatte, comblant vite le vide avec le pouce de mon autre main. Hélène ne dit rien, parfaitement immobile et continuait de respirer profondément, soupirant parfois avec ce qui me sembla de la volupté. J’appréciais de lui faire plaisir, mais aussi l’avoir comme une marionnette au bout de mes mains. Ma sœur m’offrait ses parties les plus intimes, et faisait même des efforts pour me les offrir au maximum. Mon index et mon majeur étaient enfoncés jusqu’à la troisième phalange maintenant, et ma langue retourna s’aventurer vers son petit trou, même si le lubrifiant rendait la léchouille moins agréable pour moi. De l’immobilité, ma sœur était repassée aux mêmes mouvements de recherche de pénétration. Après quelques minutes, elle fit d’une voix étouffée : « Prends-moi, maintenant… En tremblant, je répandis encore du lubrifiant sur mon sexe, la salive d’Hélène ayant séchée depuis. Je présentais mon gland à son anus et réfrénais une pulsion ...
... bestiale de forcer mon chemin d’un coup. Une partie de moi avait envie de s’imposer sauvagement dans ce petit conduit délicieusement étroit. De me rendre maître d’elle… Mais je ne fis qu’utiliser le bout de mon sexe que comme un objet de massage sur sa petite rosette un premier temps. Elle expira alors que les deux premiers centimètres passaient et je priais pour avoir la résistance et la patience de mener l’expérience à son terme. Hélène aussi tremblait un peu et elle accumula coussins et une partie de la couette sous elle afin de l’aider à garder la position. Confortablement installée, je la sentis se relâcher et mon sexe rentra davantage. Elle poussa un petit cri de plaisir. « ça y’est, je te sens bien en moi !, fit-elle fière d’elle. Pour moi aussi, les sensations étaient différentes et j’avais l’impression de sentir dans ma queue la vibration de ses paroles du fait de l’étroitesse de son cul. J’avais du mal à me contenir et je lui répondis : « Je suis juste à moitié… Je… « Continue ! reprit-elle piquée au vif. Attends, juste un peu…. Me demanda-t-elle en réorganisant les coussins sous elle de façon à pouvoir se caresser le clitoris pendant que je la sodomisais. Encore une fois, son confort et son excitation furent le plus efficace des lubrifiants et je progressais de nouveau, commençant à recourir à des techniques mentales pour éviter de venir tout de suite. Avec masochisme, je pensais au prochain contrôle de math, je me remémorais la pire honte de ma vie, quand mon jeans ...