1. vive les fêtes ratées (2)


    Datte: 09/07/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... qui s’était déchiré de façon ridicule devant toute la classe, puis ressuscitais ma pire douleur : mon accident sanglant sur la cage de foot… Mais il suffît qu’elle tressaute entre mes mains pour que toutes ces mauvaises pensées disparaissent… et ma sœur m’acheva alors qu’elle vint d’elle-même s’empaler sur mon sexe avec un mouvement de corps. Enfin, j’étais enfin totalement en elle, et je sentis sur mes bourses ses doigts occupés à fouiller frénétiquement sa chatte. Accrochée à ses hanches, j’éjaculais de nouveau avec un cri étranglé, continuant de la baiser alors que mon sperme remplissait un peu plus. Hélène poussa elle aussi de petits feulements et articula avec peine : « Je te sens te vider, je te sens couler en moi ! Continue ! Prends moi à fond ! Des éclairs courraient le long de ma tige mais cette situation était trop bandante pour que mon érection décline tout de suite. Sans plus de ménagement, j’allais et venais en elle, profitant de chaque instant de ma raideur pour marquer sa chair de ma chair. Enfin, je me laissais aller, la pénétrant avec puissance. Au bout d’un moment je n’y tiens plus et je m’écroulais sur son dos, mon sexe encore bien en elle. Ma sœur se masturbait toujours et je lui mordillais l’oreille tout en caressant ses cuisses. Mes mains rejoignirent les siennes sur son mont de vénus et les pressèrent pour les forcer à aller plus profondément en elle. Un frisson final la parcourut et elle s’écroula elle aussi, écartant du bout de ses doigts mes mains ...
    ... de sa chatte. Immobile, ses mains restèrent en rempart pour protéger son sexe qui désirait visiblement un peu de tranquillité. Soit. De toute façon, j’étais complètement crevé et j’étais bien content de pouvoir simplement me consacrer à ma petite mort et la profonde félicité qui s’était emparée de moi. Des étoiles dansaient devant mes yeux et mes cuisses et mon service trois pièces m’élançaient. Ce denier sorti d’ailleurs naturellement du corps de ma sœur, défait et humble. dkhdcclr Nous restâmes un bon moment simplement étreints, nous embrassant doucement et reprenant notre souffle. Je gémis alors qu’Hélène caressa mon sexe et elle ricana : « Je voulais juste être reconnaissante ! Il a très bien travaillé ! Sans rire, t’es un bon coup le frangin, c’était vraiment super. Aux anges, je ne pus sourire que comme un imbécile et fanfaronnais : « C’est quand tu veux pour le refaire, toujours prêt. Elle empoigna plus fermement mon phallus et sourit d’un air sceptique alors que le morceau de chair restait assez inerte et m’envoya en prime une petite douleur de protestation. « De toute façon il commence à se faire tard, remarqua-t-elle à contrecœur en regardant son réveil. Je trouvais qu’elle était trop prudente : nous avions au moins encore deux heures devant nous, mais elle se releva, décidée… et un filet de foutre obscène coula de son cul, achevant de ruiner les draps. « Il ne reste plus qu’à faire une lessive, dit-elle d’un ton léger et blagueur, toutefois, je vis bien à ses joues ...