La rencontre
Datte: 11/07/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
couple,
vacances,
plage,
boitenuit,
amour,
nopéné,
init,
... là tout de suite et qu’il mette enfin un terme à ces préliminaires devenus maintenant bien trop longs à mon goût. En me dandinant et en gémissant doucement de plaisir, je me laissais aller en savourant ses attentions. Il me rendait folle de désir et je ne le laissais apparemment pas indifférent non plus, la proéminence qui s’était formée à son pantalon en attestait. Ne voyant pourtant rien venir, j’ai pris à nouveau les devants. — J’ai envie de toi !— Moi aussi, tellement fort… Avec un sourire espiègle, je lui ai répondu tout en lui massant la bosse qui s’était formée au niveau de son entrejambe. — Oui, il me semble bien sentir ça ! L’air vraiment stressé, il a repoussé la main qui lui caressait le sexe et s’est écrié : — Je suis vraiment désolé Audrey, mais je n’ai pas de capote. Je n’en avais pas non plus, mais je dois avouer que sur le moment c’était vraiment le cadet de mes soucis. Nous étions jeunes et ne devions pas avoir énormément d’expérience. Comptant bien me passer de cet ustensile, j’ai tenté de dissiper ses craintes : — Me concernant, j’ai fait un test il y a six mois et je n’ai pas eu de rapports non protégés depuis. Et toi ? Il me répondit en bafouillant et en se repiquant un phare ; — Moi… euh… J’ai encore, euh… jamais… fait ça ! Ne comprenant pas trop de quoi il parlait, j’ai donc cherché à avoir un complément d’explication. — Tu n’as jamais fait de tests ?— Non, euh… je n’ai… jamais fait ça, tout court ! Puceau ! Il était puceau ! Puceau à son âge ? ...
... Mignon et sexy comme il était, j’ai trouvé ça incroyable ! Aussi bizarre que cela puisse paraître, le fait de savoir qu’il allait découvrir les femmes avec moi, qu’il n’aurait aucun point de comparaison et savoir que j’étais sa première décupla encore mon désir pour lui ; je l’ai donc rassuré. — Nous n’avons alors pas besoin de capote, prends-moi ! Il m’allongea sur le dos et entreprit de me dévêtir. Mon corps fut couvert de baisers, ses lèvres ont parcouru chaque parcelle de ce dernier et aucune ne fut lésée, c’était divin ! En sentant sa bouche s’emparer de mon sexe, j’ai failli défaillir tant c’était bon et alors que, serrée entre mes mains je lui tenais la tête plaquée contre mon abricot qui dégoulinait de plaisir, ni tenant plus, je l’ai imploré de me prendre : — Prends-moi, s’il te plaît, prends-moi maintenant ! Ses lèvres se décollèrent de mon minou qu’il a regardé avec énormément de passion quelques secondes, il dégrafa sa ceinture, fit glisser son pantalon et laissa apparaître une magnifique queue aux dimensions honorables, légèrement arquée, le gland déjà décalotté et déjà raide à souhait. Elle avait l’air si dure que j’aurais aimé la toucher, la prendre un instant en main et l’embrasser, mais Marc ne m’en a laissé ni le temps ni l’occasion, il s’est placé sur moi et s’est allongé en cherchant en vain l’entrée de son paradis. Impatiente, je l’ai un peu aidé pour enfin sentir sa tête chercheuse s’y introduire légèrement. Oh très peu ! Je commençais à peine à le sentir ...