1. La rencontre


    Datte: 11/07/2018, Catégories: fh, jeunes, couple, vacances, plage, boitenuit, amour, nopéné, init,

    ... écarter timidement l’entrée de ma grotte qu’il était aussitôt ressorti. — Mais viens ! Qu’est-ce que tu fais ?— Euh, je peux pas…— Quoi ? Tu ne peux pas quoi ?— Je suis vraiment désolé.— Qu’est-ce qu’il t’arrive Marc, je ne te plais pas ? Tu ne veux plus de moi ?— Si… Tu me plais énormément, mais…— Mais quoi ?— Eh bien… Je suis désolé, je n’ai pas pu me retenir, c’était trop bon ! Vite, je me suis empressée de faire glisser ma main entre mes cuisses pour effectivement y découvrir mon sexe maculé de sperme. Il avait tout lâché avant même de me pénétrer vraiment, la messe était dite. Blasée ! j’étais blasée ! Moi qui avais envie de m’amuser un peu, me voilà sur ma faim. Et quelle faim ! Faussement compatissante et hypocritement, je lui ai alors dit : — Ne t’inquiète pas, mon chou ! C’était très bon quand même et c’est plutôt flatteur. Je dois trop te plaire… No stress, on recommencera demain ! –––oooOooo––– Nous nous étions donné rendez-vous avant de nous quitter et, comme prévu, Marc était devant ma porte le lendemain. Certes le désir était un peu redescendu, mais étant restée frustrée, j’avais décidé de lui laisser une seconde chance en mettant ses déboires sur le compte de sa timidité et du fait qu’il n’avait avant, jamais consommé. Il venait donc de sonner à ma porte et avait été reçu par mon père qui le faisait patienter pendant que je finissais de m’apprêter. Nous devions nous rendre à une soirée qu’organisait un de ses copains à une soixantaine de kilomètres de là, le ...
    ... week-end entier nous appartenait donc. J’espérais ces deux jours assez longs pour enfin me permettre de profiter de ce qu’il m’avait montré la veille, autrement, tant pis pour lui, je comptais bien aller chasser ailleurs. Mais où était donc passé ce grand timide ? Il s’était métamorphosé… très avenant et très câlin, il n’a pas cessé de me peloter tout le trajet. Nous sommes arrivés chez son ami, Renaud… un grand gaillard au look de surfeur. Si Marc était timide, Renaud l’était beaucoup moins ; il parlait fort, il avait en permanence une histoire incroyable à raconter et avait tendance à toujours s’arranger pour être le centre des attentions. En cette fin de juin, le soleil tapait déjà très fort et le programme incontournable de l’après-midi fut, sans surprise, la plage. Renaud ne manquait aucune occasion afin de m’envoyer tout en s’adressant à Marc, des compliments détournés ainsi que des réflexions légèrement grivoises. — Eh bien, mon Marco, tu nous avais caché tes talents de Don Juan, elle est vraiment canon ta conquête ; c’est gentil de m’avoir ramené pareille beauté. Garde-la bien à l’œil, une fille comme elle, il se pourrait bien que je tente de te la voler. Et tout en s’adressant directement à moi : — Et si mon pote te déçoit, ma belle, mes bras te sont grands ouverts. Bon, certes il était un peu lourd, mais je m’en amusais et ce n’était pas vraiment désagréable que de se sentir ainsi convoitée. Je m’en amusais donc, voire même en abusais légèrement en l’aguichant aussi ...