Colocataires
Datte: 12/07/2018,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
init,
coupfoudr,
... solides et ces yeux de velours, ce nez légèrement retroussé me convainquaient que je ne saurais trouver femme plus jolie, plus aimable et plus sensuelle. Les danses se succédaient, nos amis semblaient ravis de voir un couple se former sous leurs yeux. — Jean, vois-tu ce groupe bruyant ? Il me semble qu’il y a ta colocataire, Cathy. Elle est assise à côté d’un grand gaillard en complet blanc et anime la table. Ce soir, elle semble déchaînée. Christian avait ainsi attiré mon attention. Le boute-en-train de cette tablée était effectivement très différent de la fille terne que je connaissais. Elle aussi s’était appliquée à se mettre en valeur, jupe ultra courte, blouse à décolleté indiscret dévoilant une poitrine agressive, talons hauts accentuant la cambrure, excitante en diable, mais avec une pointe d’audace à la limite du bon goût. Le plus étonnant était sa voix aiguë et ses éclats de rire. J’avais heureusement tiré le bon lot. Mathilde était tellement plus distinguée. Elle avait un charme naturel indéniable. Je lui en fis compliment. J’eus la surprise de l’entendre dire qu’elle me trouvait également charmant et aimable. Elle ne repoussa pas un bisou dans le cou, l’approuva en se serrant un peu plus contre moi, admit que mon bras la rapproche de moi, pencha sa tête sur mon épaule et murmura : — Je me sens bien, dans tes bras. J’interprétai cette déclaration à mon avantage, osai un autre bisou sur ce cou dénudé auquel elle répondit avec un soupir. Je la regardai, ses yeux ...
... humides trahissaient une forte émotion. J’étais en feu. De nouveau ses cheveux chatouillaient ma joue. La musique s’arrêta, nous restâmes debout sur place, dans l’attente du morceau suivant. Rien ni personne ne pourrait nous séparer ce soir : nous n’avions plus besoin de paroles pour le comprendre. La danse avait repris. Nos amis observaient les progrès de notre relation et nous encourageaient du regard. Et voilà que soudain un couple fou vint nous heurter violemment avant de s’éloigner dans un éclat de rire reconnaissable. Pour retrouver notre équilibre nous nous sommes retrouvés collés l’un à l’autre, immobiles, savourant cette intimité inattendue, corps confondus au milieu d’une foule dansante. De la tête aux pieds liant connaissance, étonnés et heureux de ce coup du destin qui précipitait le lien qui nous unissait. Mathilde sentit l’émoi de ma virilité et ne s’en offusqua point, une moue signifia qu’elle était heureuse de produire un tel effet. À ce stade, ma retenue fondit et je risquai un baiser sur la bouche de ma cavalière. La bouche ne se déroba pas, les lèvres s’entrouvrirent. La musique s’arrêta, nous nous détachâmes à regret. — Alors, vous deux, ça va ? Vous paraissez bien vous entendre. Mathilde, tu as enfin trouvé un excellent cavalier. C’est un plaisir de vous voir danser. Christian nous complimentait et les autres partageaient sa satisfaction. J’étais sur un petit nuage. Sous la table Mathilde pressait mes doigts dans sa main. Certainement n’étais-je pas le premier ...