Colocataires
Datte: 12/07/2018,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
init,
coupfoudr,
... amoureux se poursuivrait, il fallait, disait-elle que j’apprenne le corps féminin et l’art de faire l’amour. Dans les prochains jours Cathy allait me montrer l’utilité d’une bonne copine. Le mardi matin, nouvel étonnement, Cathy m’attendit pour rejoindre l’école et poussa l’amitié jusqu’à me prendre ostensiblement le bras. À quatre heures, elle vint s’installer dans ma classe avec une pile de cahier à corriger. Nous retournâmes ensemble à notre appartement, elle offrit de préparer le repas du soir, au cours duquel elle proposa de créer une caisse commune pour l’achat de nourriture. J’y réfléchirai. Au moment de regagner nos chambres, elle me prit par la main : — Viens dans ma chambre, j’ai quelque chose à te montrer. Je sus vite de quoi il s’agissait : en quelques gestes précis Cathy me fit assister à un effeuillage rapide : — Ne rougis pas, grand nigaud, approche et vois. Évidemment elle était très fière de son corps bien tourné, de ses jeunes seins qu’elle dressait dans ses mains en soucoupes, fière d’exhiber ce pubis rasé, décoré d’une rose tatouée ou sa chute de reins soulignée d’une guirlande de cœurs. De ses mains, elle me montra son sexe, écarta les lèvres de la vulve, exposa l’entrée du vagin et me fournit, en bonne copine avertie, une leçon d’anatomie complète. Je devais tirer le plus grand profit de ces connaissances. Et maintenant je devais apprendre à surmonter ma timidité. Donc je devais à mon tour abandonner mes vêtements et m’exposer sans complexe à sa vue en ...
... tenue d’Adam. Cela m’apprendrait à me libérer lorsque se présenterait l’occasion. Je m’exécutai en me demandant où nous allions nous arrêter dans la progression prévue par Cathy. Je quittai mon slip en jouant l’affranchi sous l’œil approbateur de cette bonne copine, mais une sonnerie de portable fit bondir Cathy, elle s’empara de l’appareil et, en tenue d’Ève, quitta la salle en tirant la porte derrière elle. — Oui, c’est moi. Non je suis en train de… Elle avait franchi le couloir et se trouvait dans le séjour. La sonnerie du téléphone avait rompu le charme, la bonne copine avait des secrets que je ne devais pas entendre : sa sortie me vexa, je ramassai mes affaires et me réfugiai dans ma chambre. Au passage je l’entendis donner un rendez-vous : — Viens demain à quatorze heures, je serai seule et je te raconterai. Salut Alain. Mais non… la conversation continuait.— Quoi, Jean tu abandonnes ? Tu es fâché. Je n’aurais pas dû te quitter. Ne fais pas la tête. C’était ma mère, je ne voulais pas qu’elle sache, tu comprends. Tu ne reviens pas ? Ah ! Bon. On reprendra demain soir si tu veux.— Bonne nuit. Ainsi donc la mère de cette copine dévouée s’appelait ALAIN ! Cette maman avait dû s’inquiéter de constater que Cathy n’était pas rentrée en famille ce mardi. Était-elle restée pour me conquérir ce mercredi ? Un accident peu banal au foyer m’obligea cet après-midi à retourner chercher dans ma chambre un jeu de raquettes de ping-pong. À côté de ma vieille Peugeot, un coupé sport tout ...