Colocataires
Datte: 12/07/2018,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
init,
coupfoudr,
... la couche de Mathilde. J’étais heureux, heureux, la journée serait belle et nous avions convenu de nous retrouver mercredi soir puis le week-end suivant. Nous ne tenions pas à rendre officiel trop vite nos sentiments et notre liaison, mais nous avions des projets d’avenir plein la tête. Vers dix-huit heures, je regagnais ma chambre. Exceptionnellement je tombai sur ma colocataire. — Bonsoir, Jean, comment vas-tu ? Entre dans le séjour, il faut que nous parlions ensemble. J’ai préparé un petit repas pour deux. Il est grand temps que nous fassions mieux connaissance. Jamais, depuis mon arrivée, je n’avais eu droit à pareil accueil de la part de Cathy. Que lui arrivait-il ? — Tu sais samedi soir, tu m’es apparu sous un jour nouveau. Tu m’intimidais, je n’aurais jamais soupçonné que tu dansais aussi bien, ou que tu pouvais être aussi vif et joyeux. Tu sembles toujours si sérieux !— Je crois avoir remarqué que de ton côté tu livrais une image de bonne vivante qui m’était inconnue.— Donc tu m’as bien vue. Je me suis même amusée à vous secouer. J’espérais que tu viendrais m’inviter. Mais dis-moi, tu ne vas pas me dire que tu sors avec Mathilde. Tu n’as pratiquement dansé qu’avec cette vieille fille. Elle a au moins deux ans de plus que toi. Méfie-toi, elle cherche à se caser. On lui prête un tas d’aventures ou d’amants.— Excuse-moi, j’ai trouvé que nous nous accordions très bien sur la piste. J’ai eu beaucoup de plaisir à danser avec elle. La fable malveillante des amants me fit ...
... sourire. J’avais constaté de mes yeux que Mathilde était vierge. Cathy n’avait pas à le savoir. — Avec moi tu en aurais eu autant sinon plus sans avoir à m’épouser. Je pense être plus jeune, plus drôle et plus libérée que cette cavalière. Je te le répète, méfie-toi ou tu vas te retrouver la bague au doigt. Alors la prochaine fois, invite-moi. Pour changer de sujet, je félicitai Cathy pour la qualité de sa cuisine. Il avait suffi qu’elle me voie en compagnie de Mathilde pour éveiller son intérêt. Subitement elle s’inscrivait en rivale, prête à l’éliminer au moyen de calomnies. Pour ma tranquillité, je ne la contredisais pas. Plusieurs fois elle revint à la charge pour me mettre en garde. Elle, Cathy pourrait être une compagnie amusante, une copine dévouée, elle m’introduirait dans une bande joyeuse… À mon plus grand étonnement, elle me proposa de me préparer à des rencontres et me proposa de m’apprendre les rudiments nécessaires pour conquérir une fille. À commencer par l’art du baiser. Je lui laissai croire que j’étais ignorant et eus immédiatement droit à une démonstration gratuite mais savante. La diablesse était une pro, la copine se transforma rapidement en fille passionnée, se livra sur moi à des attouchements hardis, imposa à mes mains un parcours du combattant sur toutes les courbes de son corps. En deux jours je changeai de statut, deux femmes me draguaient ouvertement. L’une était tendresse, l’autre était audace prétendument désintéressée. La « leçon » de comportement ...