1. Un jour, Lara


    Datte: 12/07/2018, Catégories: hplusag, hotel, telnet, Transexuels Oral hdanus, hsodo,

    ... langues aussi. 2009, année érotique. Cette interprétation à deux flûtes dégénèrevit. Des soubresauts inopportuns agitent tout à tour les attributs de chaque sujet. Je déteste les films pornos avides de foutre qui coule bien visible. Moi y’en a être primate primaire, j’aime bien me déverser là où c’est fait pour. Si c’est pour finir par une branlette, je peux le faire tout seul. Quant à la bouche de Lara, pas cette fois, pas pour sa générale. Faut que j’arrête de soliloquer sinon y’aura plus rien à décider. D’un geste déterminé, je m’extrais de sa bouche, je largue son bourgeon en plein envol, essuyant au passage mes doigts gluants sur le drap. Total contrôle sur les opérations, c’est moi le mâle après tout. J’allonge ma petite chérie sur le dos, installe un des oreillers sous sa tête, et l’autre sous son sijolipetitcul. Je lui demande poliment, mais fermement de prendre ses jambes par les genoux et de bien les remonter. My God ! Quel plaisant spectacle. Ainsi positionnée, elle offre à ma turgescente lubricité une vue panoramique de sa féminité. — Attends une seconde, mon chéri !— Ne crains rien, ma poussine, je serai très doux.— J’en suis sûr, mon gros nounours, mais deux précautions valent mieux qu’une.— Ça, c’est ce que disait l’eunuque en enfilant une capote.— Qu’est-ce que t’es drôle ma bibiche. Mais on n’a pas besoin de capote, nos tests sont ok !— Tu veux que je prenne une photo pour ton prochain montage ?— T’es vraiment trop ! Meuh non ! Prends le gel sur la table de ...
    ... nuit et ne pleure pas la marchandise.— Tout de suite, mon bébé. J’ai honte, mais la teneur de nos dialogues ne s’améliore pas. Also sprach Zarathoustra, avant de se tirer une balle dans le pied. Pas seulement philosophe, mais aussi poète, je prends le flacon et je déverse une bonne quantité de lubrifiant entre ses fesses. Utilisant ma queue, je barbouille consciencieusement l’entrée de sa caverne d’Ali Baba. Va falloir que je fasse les quarante violeurs à moi tout seul. Ici l’expression « enfoncer des portes ouvertes » prend tout son sens. Ma petite si chérie est si bien ointe que mes couilles cognent le bas de ses reins la seconde suivant ma tentative d’introduction. La coquine jette tout aussi vite ses jambes et les croise dans mon dos, écrasant son bourgeon entre mon bidon de buveur de Kro et son jeune ventre si plat. La mâtine me tient prisonnier entre ses membres. Je ne peux pas bouger. Faut dire que j’essaie pas trop. Je sais ce qu’elle veut. Un vieux fantasme souvent évoqué. À elle de jouer. Cette situation, nous l’avons vécue plusieurs fois virtuellement, nous connaissons chaque geste. Aucune surprise dans le déroulement. Le ressenti, p… y a pas photo. Même différence qu’entre une pisse d’âne du Beaujolais et un Côte Rôtie. Je comprends, à cette seconde, qu’entre nous le virtuel c’est fini. Y aura plus de scénar, de montage photos possibles. Oups ! Ça déraille ! Ses balancements de bassin n’ont plus rien d’anodins. Son ardeur soulève mon gros cul. Elle se masturbe avec ...