Épilogue en Apothéose
Datte: 25/07/2017,
Catégories:
ffh,
fbi,
extracon,
hépilé,
fépilée,
vacances,
amour,
Oral
69,
double,
fsodo,
init,
mélo,
... moment volé au temps. Quand Valérie nous abandonne quelques minutes pour prendre sa douche, il y a des caresses osées entre Véro et moi, mais c’est juste pour agrémenter le script de la soirée. — On ne peut pas vous laisser deux minutes, les deux obsédés ! feint de geindre la naïade en revenant de sa douche.— Véro toute nue est un supplice de Tantale. Tu ne peux pas me reprocher d’y céder.— Je ne te reproche rien, si vous me laissez des miettes, dit-elle en s’asseyant entre nous. Nous la comblons de caresses tous les deux pour lui donner raison. — Tu es jalouse de nous, Valy ?— Ne déconne pas, Véro ! Je n’ai que de bons sentiments pour votre amour. Votre bonheur me fait chaud au cœur. Ce soir, je vous ai senti très proches tous les deux, mais je ne me suis jamais sentie de trop. Au contraire, vous sembliez vouloir m’avoir avec vous. Véro, semble à nouveau étrangement émue, elle a une révélation à faire à son amie. — Tu sais, Valy. Je crois que j’aimerais bien que nous continuions à être des amantes à la Réunion. Je sais maintenant que le sexe n’est pas réservé au conjoint et que c’est bien et même super bien de faire l’amour avec ceux qu’on aime.— Et notre amitié entre filles qui n’a rien de sexuel, qu’est-ce que tu en fais ?— Elle ne s’en portera que mieux à mon avis. Entre filles, cela semble même plus naturel et serein qu’entre Stéph et moi : notre amitié a toujours été suspecte alors que nous étions très loin d’être amants.— Et nous, entre filles, on pourra se brouter ...
... régulièrement sans que ni pour nous ni pour les autres cela ne change notre amitié en couple.— Et vous ne serez même pas suspectes de dérives sensuelles, c’est dégueulasse, dis-je pour m’insurger. Nous restons tranquillement devant le feu à nous caresser et au bout d’un moment, Valérie se glisse au bas du canapé et reprend la pipe qu’elle avait interrompue : — Je n’avais pas fini tout à l’heure. Je n’aime pas laisser un ouvrage en plan !— Surtout un ouvrage dont je suis l’heureux bénéficiaire. Véronique se place près de la canaille pour coopérer à son entreprise : — Je te file un coup de main si tu veux, ce pauvre Stéph n’est plus très vigoureux, il va falloir que nous soyons très actives pour parachever ton chef-d’œuvre.— Notre chef-d’œuvre ! Nous sommes des partenaires indissociables ce soir.— Moins de parlottes et plus d’actions, mesdames. Vous avez réanimé la bête, il vous faut aller au bout et à deux maintenant.— Nous faisons ce que nous voulons, mais cela tombe bien, nous avons justement envie de te faire jouir à deux. Les deux jeunes femmes se donnent alors un baiser tendre et sans séparer leurs bouches, elles absorbent mon gland. Commence alors une pipe magistrale, baveuse, enveloppante, caressante. J’ai déjà eu mon compte de plaisir ce soir et je me croyais rassasié, mais ces bacchantes sont redoutables. Deux bouches et quatre mains s’activent sur mon sexe et sur mes boules avec une douceur incomparable tout en associant toutes mes zones érogènes sans tabous. Quand Valy ...