Épilogue en Apothéose - Histoires de Sexe

Épilogue en Apothéose

... suce avec avidité mon gland, sa partenaire fait virevolter sa langue partout entre mes cuisses, de mon cul à mes bourses. Et quand la lécheuse remonte le long de mon membre, la suceuse lui abandonne mon vit pour m’enculer d’un doigt fin et mouillé tout en me faisant un suçon appuyé à l’endroit le plus caché de mon corps. Très vite, la sève monte en moi. Je n’ai pas à décrire ce qui se trame, les deux filles ont un sixième sens : quand mon plaisir explose, elles s’en partagent le maigre jus avec un délice apparent. Je suis vanné, assouvi, repu. Je suis affalé dans un canapé moelleux et j’ai deux merveilleuses femmes nues à mes pieds comme pour me rendre grâce : je suis un prince comblé. — Allez, mes merveilles ! On va aller au lit maintenant, il est tard. La première qui touche à un pyjama aura la fessée.— Ne rêve pas ! Nous ne te donnerons pas de prétextes pour martyriser encore nos jolies petites fesses ! me lance Véro en prenant la main de son amie et en filant vers la chambre.— Ah bon ? Stéph à des tendances sadiques ?— Valy, J’aurai des trucs très intéressants à te raconter quand on sera toutes les deux ! conclut Véro, de manière sibylline. Dans le lit, je suis placé d’autorité entre les deux sabines. Elles se collent à moi et posent leur tête sur ma poitrine. Il est très tard, mais nous voulons malgré tout profiter de notre trio intime encore et encore. C’est au tour de Valérie de s’interroger : — Il y a un truc que je n’ai pas compris hier. Pourquoi tu as pris hier ...

... Véro par son petit trou alors que visiblement, et j’étais bien placée pour le savoir, sa petite chatte avait vachement envie que tu lui rendes visite. J’ai cru que vous ne vouliez pas faire l’amour normalement, rapport à vos conjoints, mais j’ai bien vu ce soir que vous n’aviez pas de blocage de ce côté-là.— Tu vas rire, mais hier soir nous n’étions pas vraiment amants ! explique Véro à sa copine. Nous avons franchi cette dernière barrière ce matin. Pour tout te dire, nous étions déjà des amants contre nature, si tu vois ce que je veux dire. Je savais déjà que je serais vraiment à Stéph dès le lendemain, mais j’ai voulu garder le grand saut pour un moment à deux.— C’était mieux, pour une première fois, d’être en toute intimité, tu voulais savourer comme une gourmande je comprends.— Ah tu vois Stéph ! Valy, elle comprend tout de suite pourquoi j’ai reporté notre union. Je sens que je vais bien aimer avoir une meilleure amie fille, moi ! Nous restons silencieux encore un moment avec la lumière, le temps que la torpeur s’installe. Je sens le sommeil me gagner quand Valérie reprend la parole : — Cela m’a beaucoup impressionnée de voir Steph te prendre par ton petit fripé. Moi, j’ai toujours refusé ça à mes amants qui me l’ont demandé : j’ai peur d’avoir mal et que le mec le fasse pour me dominer. Cela avait l’air facile et même plutôt agréable pour toi.— Ça dépend beaucoup du propriétaire de la queue, je te dirais. Je n’imagine pas le faire avec n’importe qui. Pour que cela ne fasse ...