1. Ombres et lumières


    Datte: 12/07/2018, Catégories: f, fh, fhh, inconnu, bain, fsoumise, fdomine, humilié(e), Masturbation intermast, facial, initiatiq,

    ... monde, s’enfonçant irrémédiablement dans la transe. La combinaison de l’essoufflement que les longues phrases mélodiques provoquent, de l’étourdissement issu de ses rotations sans fin, et de son état d’épuisement psychique, l’amène inéluctablement dans un état second, où tout devient possible, de l’illumination mystique à l’offrande ultime de son corps. Cette femme n’a jamais été prostituée, comme les hommes se sont plu à croire. Elle tente seulement dans son désespoir de s’anéantir un peu plus à chacun de ses rituels démentiels. Elle s’étourdit physiquement, jusqu’à s’effondrer dans un demi-coma, pour mieux supporter ce qui lui arrive, et dont elle n’a plus la force de sortir. Plus elle s’affaiblit en chantant et en tournant de manière maintenant saccadée et désordonnée, plus je partage son mal-être. Je ressens physiquement ce qui se passe en elle, comme si ce qui l’étreint depuis bien trop longtemps commençait à s’emparer de moi. La scène est insupportable. Soudain, au moment où je vais hurler pour qu’elle se réveille et que cesse ce manège infernal, elle s’effondre sur le sol, dévastée, hors d’haleine, son dos, ses jambes et ses bras nus dépassant du voile, qui ressemble tout d’un coup à un linceul. Dans un dernier sursaut de volonté, elle trouve juste encore la force de prononcer le blasphème qui parachève sa déchéance, le signal qu’attendaient impatiemment les deux visiteurs. — Venez, car je suis prête… À part ses flancs haletants, plus rien ne bouge en elle. Elle est ...
    ... offerte au bon vouloir de ceux qui vont passer, elle ne résistera plus, comme l’exige la pénitence qu’elle s’est choisie. Tétanisé par la scène qui se déroule sous mes yeux, je suis incapable de réagir ou même de détourner le regard. Sans se presser, enchantés par le festin érotique qui les attend, les deux hommes s’approchent et commencent par soulever le voile transparent, de manière à dénuder les fesses et l’entrejambe. L’un d’eux tient déjà sa queue violacée entre ses doigts, il est sûrement en train de l’astiquer depuis un bon moment. L’autre sort à son tour son engin de son pantalon et prend position de l’autre côté de la femme. Sans hâte, ils s’encouragent mutuellement, détaillant de manière salace les charmes de la gisante, décrivant l’envie qu’ils ont de plonger entre ses larges hanches, anticipant les délices que laisse supposer le fin dessin de sa vulve, sur laquelle ils se persuadent de voir quelque signe de désir. Progressivement, leur main s’agite plus fortement sur leur tige, leur visage se crispe. Ils se sont tant réjouis de la bonne aubaine, qu’ils sentent déjà monter le plaisir du fond de leur ventre. Le plus jeune s’enhardit, s’agenouille et tente d’écarter les jambes de la femme, pour mieux s’emparer d’elle. L’autre, probablement plus expérimenté, bloque vivement son élan lubrique, et le repousse d’une main ferme. — Ne touche pas à cette femme, jamais. Prends ton pied sur elle tant que tu veux, mais ne t’avise pas de t’enfoncer en elle.— Fais pas chier, ...
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