Ombres et lumières
Datte: 12/07/2018,
Catégories:
f,
fh,
fhh,
inconnu,
bain,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
Masturbation
intermast,
facial,
initiatiq,
... j’suis sûr qu’elle est chaude comme une fournaise, cette garce, ça me changera de la Marie-Jo.— Touche-la pas, je te dis, elle porte la mort au fond de son ventre. Le gars est trop excité pour demander des explications. Mais le ton impérieux de son comparse l’emporte sur sa frustration. D’ailleurs, placé comme il est, il peut se procurer autant de plaisir qu’en s’allongeant sur la femme à moitié évanouie et sans répondant. Une folle sensation de puissance lui monte à la tête. Jamais il ne lui a été donné d’avoir pareille beauté à sa merci. Il pose sa queue démesurément gonflée sur une cuisse de la femme, et commence un rapide va-et-vient du bout des doigts sur son gland suintant de désir. Avant de se lâcher, il jette encore un coup d’œil à son partenaire, histoire peut-être de se rassurer. Mais celui-ci est déjà trop occupé par la soudaine montée de son propre plaisir pour réagir. Les deux se branlent maintenant à l’unisson, la verge pointée bien raide vers les fesses de la femme. Malgré son état, elle semble percevoir ce qui se prépare, et arrive encore à mobiliser assez de rage pour les stimuler. — Lâche-toi, gros porc lubrique, donne-moi toute ta sauce, inonde-moi de ton jus jusqu’à t’en flétrir les glandes. Et toi, le grand chien couillu, ne te retiens pas, vide-toi, arrose-moi de ta sauce, tu me fais tellement mouiller… C’en est trop, sans percevoir la violence de l’insulte, le plus jeune craque en premier et déverse d’épaisses giclées entre les fesses de la femme en ...
... grognant de bien-être et de mâle satisfaction. L’autre tente de retarder l’explosion, mais finit par se vider à son tour, crachant un jus abondant sur le dos dénudé, jusqu’à arroser les cheveux qui cachent le visage de la femme. Rien ne semble pouvoir endiguer leur jouissance, leur sperme ne cesse de s’écouler en répugnantes saccades. Ils se calment finalement, après avoir laissé échapper quelques dernières larmes de leurs queues rapidement débandées. Se relevant d’un même mouvement, ils rengainent leur engin dégorgé, et après une dernière remarque obscène sur leur jouet de plaisir, sortent de l’église, apparemment satisfaits de cette démonstration de virilité. Longtemps, le corps nu reste presque sans vie à même le sol de la chapelle. Soudain naît un frisson sur la peau de la jeune femme, et enfin, premier signe de rébellion, un douloureux sanglot jaillit de sa poitrine. Je n’en peux plus. Je descends d’un bond de la galerie et viens m’agenouiller près d’elle. Cette fois elle ne se défend pas, et me laisse recouvrir de son voile son dos trempé de sperme. Elle tente faiblement de se redresser, mais les forces lui manquent et elle retombe sur le sol, le torse maintenant offert à mes regards. Je ne peux m’empêcher de constater à quel point elle est belle. Tout est harmonieux en elle. Et malgré ce qu’elle s’impose, aucun signe de déchéance ne la marque. Fugitivement, je la revois debout sous son voile, au début de sa danse, dans la lumière joyeusement colorée des vitraux, pareille ...