1. Fabienne ou une exposition singulière


    Datte: 13/07/2018, Catégories: fh, fplusag, campagne, voyage, volupté, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, fdanus, fouetfesse, init,

    ... moins coordonnés. Je mets mes deux mains sur le bas de son ventre, il semble très sensible, il commence à se raidir. — Viens, mon chéri, me dit-elle, je ne vais pas tenir encore longtemps. Je sens dans son corps une série de convulsions, un peu désordonnées et de plus en plus fortes. Sa chatte devient complètement ouverte. Elle se met alors à frotter très fort ses fesses contre mes cuisses. Je sens qu’elle cherche un contact fort avec son clitoris. Avec quatre doigts je lui fais un grand massage circulaire. C’est trop fort pour elle, elle pousse un râle qui vient du fond d’elle-même, elle se contracte une dernière fois avec violence, ses cuisses sont comme du roc, elle ne peut plus se retenir, elle jouit. Maintenant elle reprend son souffle, son visage est calme, sa tête tombe sur mes épaules, l’eau est toujours aussi chaude. — C’était féerique, Philippe chéri. Mais toi, tu n’as pas joui ?— Non, pas encore.— Je suis partie trop vite, avec toi je suis trop excitée, je ne parviens plus à me contrôler.— Et moi j’étais ailleurs, je prenais tout mon temps, j’étais calme et détendu, je ne faisais pas l’amour, c’est mon esprit qui était en voyage.— Ne t’inquiète plus, mon chéri, maintenant je vais m’occuper de toi, de ton voyage. Je m’allonge complètement dans la baignoire, l’eau arrive presque au niveau de ma bouche. Avec beaucoup de délicatesse, Fabienne caresse mon sexe en tournant et en faisant de doux va-et-vient. Aussitôt je replonge dans une délicieuse torpeur, je suis hors ...
    ... du temps qui passe. Tout d’un coup une sensation de brûlant me vient du bas du ventre, ma respiration se fait plus forte, j’ai presque envie de crier. Mon ventre et mes fesses se contractent et me font mal, je n’en peux plus. J’ai l’impression que mon corps se vide. De longs jets de plaisir partent dans l’eau, c’est à mon tour de jouir contre le corps de cette femme merveilleuse. — Merci, Fabienne chérie, ou merci, ma chérie, si tu préfères.— Je préfère "ma chérie". Les bons moments ont une fin et il faut savoir terminer. J’ai eu des sensations et des plaisirs tellement variés aujourd’hui qu’il faut que je garde quelques forces pour demain. Une jeune vierge de soixante-deux ans, cela se bichonne. — Fabienne chérie, j’ai maintenant une petite faim. Si tu avais un petit en-cas cela me ferait très plaisir.— Pourquoi, il n’y a pas que moi que tu veux dévorer ?— Hélas, non.— Je sais qu’après l’exercice il faut reprendre des forces. J’ai prévu un petit buffet froid avec des salades et de la glace. Ça te convient ?— Comme à un chef. Nous sortons de l’eau, Fabienne m’essuie et je ne peux m’empêcher de caliner à nouveau son minou. Elle enlève ma main et me dit : — Descendons pour de bon maintenant. Tu m’as déjà comblée quatre fois aujourd’hui, moi aussi j’ai besoin de reprendre des forces. Je m’installe dans le salon pendant que Fabienne prépare son buffet. Je mets une cassette de blues et mon esprit se remet à rêver. Je pense à aujourd’hui, je pense à plus tard. Fabienne installe le ...