Fabienne ou une exposition singulière
Datte: 13/07/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
campagne,
voyage,
volupté,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
fdanus,
fouetfesse,
init,
... buffet dehors, il fait un temps superbe. Ses salades sont excellentes. Nous parlons comme deux enfants de tout et de rien. Elle est heureuse, moi aussi. Le temps passe trop vite et il est déjà temps de rentrer. Je me lève pour partir. — Tu embrasseras Florence pour moi, me dit Fabienne. N’oublie pas de lui faire des compliments sur ses aquarelles.— Je l’embrasserai deux fois, une pour toi et une pour moi.— Mais pas plus, s’il te plaît. Tu vas passer le week-end avec tes cousins ?— Une partie seulement car je ne sais pas quand Pierre va rentrer de tournée et, qui plus est, j’ai un copain de fac qui va peut-être passer me voir demain. Si c’est le cas nous irons sûrement visiter le château de Sully ou l’abbaye de Saint-Benoît.— Un copain ou une copine ? Tu sais que je suis très jalouse…— Un copain. Et toi, que dois-tu faire ?— Des dessins avec Frederica.— Et seulement des dessins ?— Non.— Et si moi aussi j’étais jaloux ?— Tu ne vas pas être jaloux pour une femme !— Non. Mais tu vas passer tout ton week-end avec Frederica, je croyais qu’elle partait en vacances ?— Son mari est absent tout le week-end, il revient lundi la chercher pour partir en Bretagne dans le Morbihan.— Est-elle aussi « mal baisée » par son mari qu’elle nous l’a dit avant-hier ?— Oui, c’est un goujat. C’est un « tireur de coups » et c’est tout.— Et pourquoi restent-ils ensemble ?— Je ne sais pas trop. En tout cas, demain il va falloir que je prenne des précautions ou que je trouve des excuses.— Pourquoi ?— Tout ...
... simplement parce que mes fesses ont été marquées par un jeune étudiant de vingt-cinq ans particulièrement sadique et sévère, et je ne veux surtout pas qu’elle le sache.— Tu le regrettes ?— Bien sûr que non.— Tu as toujours chaud ?— Bien sûr que oui.— Si je passais par hasard dimanche, tu penses que cela gênerait Frederica ?— Elle non, mais moi oui, je serais très malheureuse. J’aurais trop peur que tu aies envie de refaire certaines choses avec elle et je ne le veux vraiment pas après ce que nous avons vécu aujourd’hui. Mon intimité avec les femmes est complètement indépendante de la relation que j’ai avec toi. Je te l’ai dit, tout mon corps est à toi, quand tu veux. J’ai accepté avec toi ce que je n’avais jamais accepté ni avec un homme, ni avec une femme. Je ne veux plus qu’une femme te regarde comme Frederica t’a regardé.— Je ne veux surtout pas que tu sois malheureuse.— Si tu veux, tu peux venir dormir chez moi cette semaine. Je saurai rester suffisamment sage pour ne pas trop perturber ta capacité de travail du lendemain. En plus, je te préparerai un bon petit déjeuner que je t’apporterai au lit, comme un prince.— Je viendrai mardi ou mercredi prochain, mais je te téléphonerai auparavant.— Mardi, certainement pas, c’est le quinze août ; je t’attends donc mercredi seize au soir.— J’arriverai vers sept heures. N’oublie pas, en plus du petit déjeuner, de prévoir quelque chose de sympa pour le dîner, je n’aime pas faire de gros câlins avec la faim au ventre.— À ce sujet, ne ...