1. Les plaisirs d'une dame de compagnie


    Datte: 25/07/2017, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, fsodo,

    Durant l’été 2002, je me retrouvai alité suite à une opération. Trois semaines de lit forcé, la galère. Mon épouse, étant très prise par son travail en milieu hospitalier, décida de faire appel aux services d’une dame de compagnie pour effectuer le ménage et veiller sur moi. Un après-midi, ma femme reçut celle qui allait être ma "nurse". Elle s’appelait Pascale, une femme de quarante ans, tout à fait ordinaire. Elle s’est présentée vêtue d’un jeans et d’un polo, banale. Une poitrine moyenne, je dirais 85 B au jugé. Elle était plutôt fine, une coupe à la garçonne et un sourire prononcé par des fossettes. Bref une femme ordinaire, pas de quoi se taper le cul par terre. Mon épouse fait les présentations et lui explique les menus travaux à faire. Elle va travailler tous les jours de la semaine de 14 H à 17 H. Le lundi suivant, Pascale arrive à l’heure dite et prend tout de suite ses marques dans la maison. Elle s’affaire aux tâches qui lui ont été demandées par mon épouse. Pendant la première semaine tout se passe bien. Malgré le fait que je n’aime pas sentir quelqu’un d’extérieur à la famille toucher à mes affaires. Le lundi de la semaine suivante, Pascale me demanda si elle pouvait faire le ménage dans ma chambre. J’étais quelque peu gêné mais il le fallait bien, alors j’acceptai. Elle entreprit d’épousseter les meubles, puis balaya autour de mon lit. Je l’observais dans un premier temps. Je la regardais se mouvoir autour de moi, et le plus souvent de dos. Je pus remarquer ...
    ... qu’elle avait un joli petit cul musclé. Elle se rapprocha de moi et me demanda si tout allait bien. Je fus surpris par sa demande et puis je me lâchai. — En fait, il y a quelque chose qui ne va pas, Pascale !, lui dis-je en la fixant.— Ah bon! Dites-moi quoi que je puisse arranger ça, dit-elle, gênée.— Et bien voilà, c’est plutôt gênant ! J’hésitais. — Dites-moi ce qui ne va pas, Monsieur.— Puisqu’il faut le dire, alors allons y. Je ne sais pas si ma femme vous en a parlé, mais je ne peux pas quitter le lit pour l’instant ! Elle, intriguée : — Oui, votre dame m’en a parlé. Si vous avez besoin de quoi que ce soi, demandez-le moi. Je suis là pour ça ! Ce "je suis là pour ça" eut pour effet de me détendre. Comme un accord tacite entre elle et moi. — Voilà, ma femme est partie plus tôt ce matin et n’a pas eu le temps de s’occuper de moi.— Que faut il que je fasse, Monsieur ?— Et bien c’est gênant, mais elle ne m’a pas fait ma toilette, et je ne supporte pas d’être sale !— Et bien ce n’est pas grave, nous allons remédier à la situation. Je vais chercher le nécessaire et je reviens. Elle sortit de la chambre et revint quelques minutes plus tard avec une cuvette d’eau, le savon et un gant de toilette. J’avais oublié d’ajouter que, volontairement, j’étais nu sous les draps. Le fait que cela se passait au mois de juillet permettait cette légèreté d’accoutrement. Elle prit le gant et me savonna le visage, le cou, les oreilles. Elle continua sur le torse et sous les aisselles. Elle me ...
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