1. Les plaisirs d'une dame de compagnie


    Datte: 25/07/2017, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, fsodo,

    ... portait une culotte en dentelle blanche. Elle resta de dos, n’offrant à ma vue que son adorable fessier. Puis elle retira lentement sa culotte me dévoilant ses fesses musclées. Elle avait un petit cul bien ferme et serré. Elle m’enjamba, sans mot dire, et guida ma queue vers l’ouverture de sa grotte. Elle s’assit d’un trait sur mon sexe, l’enfonçant au plus profond de sa chatte humide. Elle était totalement lubrifiée par son excédent de mouille, sécrété par son désir. Elle ondula du bassin sans un mot. Je ne voyais que ce magnifique cul remuant, cachant ma queue figée dans sa chatte. Elle me faisait l’amour de façon divine. Je n’osais ni la toucher ni lui parler, de peur qu’elle ne s’arrête. Je la regardais se mouvoir sur moi. J’étais étonné de la façon dont cette mère modèle faisait si bien l’amour. Et puis je me permis une phrase : — Vous avez un très joli cul, Pascale ! Vous feriez bander un mort ! En guise de réponse, elle se releva légèrement pour faire ressortir mon sexe de son vagin, et le guida vers son anneau. Elle appuya le bout de mon sexe sur son anus. Puis elle força lentement son entrée. Son cul s’ouvrit et le bout de mon sexe rentra dans son antre chaud. Elle se figea un instant. Je pense que c’était pour mieux en accepter l’intromission. Puis elle s’assit dessus et engloutit la totalité de mon sexe dans son anus. Elle était toujours de dos, et je ne voyais plus que ses fesses écrasées sur mon ...
    ... bas-ventre. Elle recommença ses ondulations de bassin. Sa technique était efficace parce que mon plaisir montait à grande vitesse. J’essayais de me retenir le plus longtemps possible. Je ne savais pas si elle éprouvait du plaisir, parce qu’elle ne disait aucun mot, et qu’aucun son ne sortait de sa bouche. Elle continuait inlassablement ses mouvements de balancier d’avant en arrière. Enfin après quelques minutes, j’entendis un gémissement étouffé. Puis elle accéléra ses mouvements. Je la sentis se crisper et se tendre. Son anus se serra autour de ma queue. Elle tenta d’étouffer un cri de jouissance : — Ouiiiiiiiiiiiiii !!!! Je jouis en même temps qu’elle, me vidant au fond de son boyau culier. Puis elle se relâcha doucement. Elle se releva, prenant soin de retirer lentement mon sexe de son anus. Elle se rhabilla sans aucun mot, elle rabaissa le drap sur moi et reprit ses tâches ménagères. Pendant le temps restant nous n’avons échangé aucun mot. Elle était étrange comme petit bout de femme. Avait-elle éprouvé quelque chose ? Je ne savais pas. 17 H, elle vint me dire au revoir. En sortant de la chambre, elle s’est retournée et m’a dit : — Demain je vous ferai votre toilette intégrale. Avec un sourire coquin, elle rajouta : — Et ce sera avec plaisir. Au revoir, Monsieur. Elle partit me laissant dans mes rêves érotiques. J’attendais avec impatience le lendemain pour la retrouver. Je vous raconterai la suite plus tard……. 
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