1. Les plaisirs d'une dame de compagnie


    Datte: 25/07/2017, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, fsodo,

    ... rinça. Elle savonna le gant à nouveau et leva le drap. Elle resta bouche bée devant ma nudité. Mon sexe était érigé, et le fait que j’étais épilé suite à l’opération lui donnait de l’ampleur. Sa main gantée se posa sur mon ventre juste au-dessus de mon pubis. Je ressentais dans ses gestes un manque d’assurance, cela se comprenait vu la situation cocasse. Elle, une femme mariée, mère de deux enfants, faisant la toilette intime d’un parfait inconnu. Elle stoppa net avant d’atteindre mon sexe. Je me rendis compte que Pascale était rouge de honte ou d’excitation. — Pascale pouvez vous finir ma toilette, SVP ! Elle avait un regard de chien battu, et me dit : — Excusez-moi, Monsieur, mais je ne peux pas aller plus loin.— Allons Pascale, je me permets de vous rappeler que vous êtes là pour ça. Comme vous me l’avez dit vous même tout à l’heure. Elle était complètement pétrifiée. Alors je lui dit d’un ton calme : — Pascale, vous avez déjà vu un homme nu. Alors ne vous offusquez pas devant un sexe tendu. C’est la nature. Elle réagit vivement : — Oui, mais là ce n’est pas celui de mon mari ! C’est pas pareil.— Et bien, fermez les yeux et faites comme si c’était celui de votre mari. Que voulez vous que je vous dise ? Je la sentais stressée et peu encline à continuer ma toilette. Je restais là, tout penaud, le sexe à l’air en espérant qu’elle veuille bien finir. Je me résignais à ce que cette épreuve se termine. Au moment où j’allais lui dire de tout ranger, Pascale replongea sa main ...
    ... dans le gant. Elle posa sa main directement sur mon sexe, et commença un savant nettoyage. Cela ressemblait de plus en plus à une branlette. Elle empaumait ma verge et faisait descendre et remonter sa main sur toute la longueur. Puis elle prit mes bourses et les savonna lentement. Elle avait des gestes délicats et sensuels. Ma queue était tendue dans sa direction, comme un appel au secours. Je n’avais pas fait l’amour depuis trois semaines, alors imaginez dans quel état j’étais. Ma queue était tellement tendue que cela m’en faisait mal. Pascale me fixa et me dit : — Vous voyez votre état, Monsieur. Vous comprenez maintenant pourquoi je ne voulais pas. Que dois-je faire maintenant ? Je ne savais pas quoi lui répondre. Et puis dans un sursaut, je lui dis : — Et bien faites comme avec votre mari dans ce cas là ! Je restais nu sur mon lit, la queue tendue au maximum. Ce moment me sembla une éternité. Elle se pencha sur moi. Elle prit mon sexe et le guida dans sa bouche. Elle me suça lentement. Puis elle me lécha la queue, faisant aller et venir sa langue tout le long de la hampe, prenant en bouche mes couilles, les aspirant comme pour les décrocher. J’étais muet, pris dans mon rêve éveillé. Elle me suçait à merveille. Cette mère de famille, épouse modèle, suçait comme une vraie salope. Elle avait le regard qui pétillait, comme si elle y prenait goût. Elle continua pendant de longues minutes puis stoppa cette merveilleuse caresse buccale. Elle se leva et retira son jean’s. Elle ...