Ma-Pi au labo du Sart-Tilman
Datte: 15/07/2018,
Catégories:
fh,
couleurs,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
journal,
extraconj,
... lit. Son sexe est droit comme un I, son gland est déjà entièrement décalotté. Je n’en ai encore jamais vu d’aussi imposant. — Regarde-le bien, c’est avec ça que je vais te baiser, me dit-il en le désignant fièrement. Dis-moi que tu as envie que je te défonce ! Je suis incapable de répondre. Djidji reprend alors : — Réponds-moi salope ! Dis-moi que tu as envie que je te l’enfonce ! Je passe ma langue sur mes lèvres desséchées. Jamais encore, je n’ai parlé en faisant l’amour. Je n’ai même encore jamais parlé de sexe avec mon mari ; nous pratiquons simplement, trop simplement. Maintenant Djidji veut que je m’exprime et en mots crus ; je ne sais si je vais y arriver… — Oui… parviens-je à murmurer.— Oui, quoi ? Sa voix s’est faite plus grave, plus autoritaire… — Oui, je veux que tu me prennes, je veux que tu glisses ton sexe dans le mien. Tout l’après-midi se passe ainsi. Djidji sera mon cadeau. Il veut, il exige que je sois passive et que je le reçoive, me faisant prendre mille positions. Ses paroles sont de plus en plus crues. Je me perds dans une sensualité voluptueuse. Je n’ai qu’un regret. Malgré toute sa bonne volonté, Djidji n’éjacule pas… sans doute le manque de pratique dû à son abstinence forcée. Je reste sur ce regret… Rentrée au domicile conjugal, je me fais câline… Une bonne partie de la nuit, je me donne, Th. me reprend. Mais la déception de n’être pas parvenue à libérer Djidji reste, que son sperme ne m’inonde pas, que je ne puisse pas goûter sa semence… mon plaisir ...
... est incomplet. Le lendemain matin, ma décision est prise. J’y retourne aujourd’hui. Une douche rapide, un petit chemisier foncé sous lequel je n’ai rien mis, une jupe à fleurs et un tout petit string noir. Djidji va me baiser, comme une folle, que je suis, et je lui viderai les couilles, quoi qu’il m’en coûte… Mon mari m’embrasse avant de partir au boulot. — Bien reposée, quand même ? me demande-t-il gentiment. S’il savait que ma seule préoccupation actuelle est de redevenir l’esclave de mon collègue, d’enfin lui sucer la bite et qu’il me défonce encore et encore en me traitant de « Petite pute blanche » ! Ah, s’il pouvait m’éjaculer sur le visage tandis qu’à genoux je me masturberais, glissant deux, voire trois doigts dans le sexe qu’il aurait dilaté avec sa grosse queue ! Djidji, j’arrive… Je regarde sortir Th. et j’essaie de me rappeler si j’ai joui cette nuit. 10 h. La pause-café. Je n’ai toujours pas aperçu Djidji. Pourtant, il doit encore ranger son bureau et clôturer ses dernières expériences. Soudain, je sens ses mains sur mes hanches. — Bonjour ! fait-il en m’embrassant sur la joue. Je me retourne et lève la tête, pour plonger mes yeux dans ses yeux. Nous sommes seuls, tous nos collègues sont à la cafétéria. J’attaque directement. Je plaque ma main sur son sexe et lui demande : — Cela te plairait de baiser une petite pute blanche ? Maintenant ? Et, avant qu’il ne réponde, je descends son zip, introduis ma main dans son slip, sors son sexe et, me penchant, le mets en ...