Ma-Pi au labo du Sart-Tilman
Datte: 15/07/2018,
Catégories:
fh,
couleurs,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
journal,
extraconj,
... bouche. Je le sens se gonfler et durcir, d’un coup. Ma bouche va exploser. — Je le savais… Tu es une grosse salope. Hier ne t’a pas suffi ? Je vais te défoncer tellement fort que tu en jouiras encore dans une semaine ! Moi qui, hier encore, me croyais si prude… Ce langage, presque ordurier, me met le ventre en feu ! Djidji a refermé, à clef, la porte de la réserve. Minuscule pièce dans laquelle, hormis les étagères, il n’y a qu’un meuble-évier… Tous mes vêtements sont à terre et, à genoux devant mon collègue, je lui suce la bite. — Suce bien la queue de ton maître, petite chienne ! ordonne-t-il. Nul besoin de me le dire, je pompe comme une folle… Je veux son sperme, partout ! Il me relève et me place face à l’évier. — Penche-toi, salope. Je vais te défoncer le con ! Je m’exécute. Je n’ai qu’une envie, son sexe en moi, au plus profond de moi. Il me traite de tous les noms, me prend, me retourne, me reprend, debout, assise, son sexe m’écartèle… Tout mon corps brûle… et, soudain, c’est l’explosion. Il m’inonde le sexe comme cela ne m’était encore jamais arrivé. Comme si, pendant ses deux années d’abstinence, il avait accumulé des réserves… J’ai deux ans de sperme dans la chatte. Il se retire doucement… Je n’aurai donc pas son sperme sur le visage… à moins que… je m’enfonce profondément deux doigts dans le sexe. Je sens son sperme et m’en macule le plus possible les phalanges, que je porte ensuite à la bouche. Je lèche mes doigts et avale sa semence… Il me regarde, amusé. — Je t’imaginais salope, mais, si j’avais su à ce point, je t’aurais baisée depuis longtemps, fait-il avec un léger regret dans la voix. Toute la soirée et une grande partie de la nuit, je vais pleurer le départ de Djidji. Th. en restera désemparé ; il ne saura jamais la raison de ce chagrin.