1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°881)


    Datte: 15/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Marion au Château – (suite de l'épisode N°875) – Sans aucun doute, je me souviendrai de ce premier Noël pendant longtemps. À la fin, tous épuisés, nous eûmes le droit de nous coucher sur le tapis au pied du lit, tous les quatre enroulés les uns autour des autres, dans une étreinte pure d'amour fraternel. Nous nous endormîmes tous visiblement heureux, assouvis, plus que jamais propriétés du Maître Vénéré… Le dimanche matin, nous fûmes secoués sans bruit mais sèchement par le Majordome alors que le Maître était encore endormi. Il nous amena à la salle de bain commune des soumis et soumises, grande pièce entièrement carrelée sol, murs, plafond, en bleu ciel et blanc, le sol légèrement en cuvette afin que l'eau s'évacue en son centre. Il nous fit placer les uns à côtés des autres, face au mur, torse plaqué à celui-ci, bras levés au-dessus de la tête légèrement écartés, jambes écartées, cambrés, faisant ressortir nos croupes. Le jet que nous reçûmes fut glacial. Si nous étions fatigués de la nuit orgiaque que nous venions de passer, cette douche glacée eut le mérite de nous réveiller. Sans compter le lavage au gant de crin que nous appliquèrent vigoureusement trois esclaves-mâles silencieux et encagés. Le jour de Noël n'était pas une exception à la règle, surtout pas pour ceux ayant l'honneur de porter les nobles Initiales du Maître. Nous fûmes donc chacun affectés à un service différent. Nous avions beau vivre dans le même Château, appartenir tous à Monsieur le Marquis, nous ...
    ... pouvions passés plusieurs semaines sans nous rencontrer. Je fus affectée au service de Walter ce qui pouvait vouloir dire tout et n'importe quoi. Je le suivis donc à quatre pattes dans la grande salle où il allait donner les consignes aux domestiques du Château. N'ayant pas besoin de moi pendant qu'il distribuait ses ordres, il m'envoya dans un coin de la pièce, m'ordonnant de rester à genoux, bien droite, les mains sur la tête, jusqu'à ce qu'il me rappelle. Ce qui dura longtemps car il discuta longuement avec les gardes de l'entretien du Domaine, des Chenils et des meutes de chiens du Maître. Je n'avais jamais eu à tenir aussi longtemps ainsi immobile. Et je sentais aussi la fatigue du réveillon peser sur mon corps. Je ressentais une tension douloureuse dans mes épaules et ma nuque. Une forte envie de me reposer un peu sur mes talons me tenaillait. Je commençais à trembler et à flancher. Mes fesses étaient irrémédiablement attirées par mes talons. Mais avant qu'elles ne se posent franchement, je reçus un coup de fouet dans le dos. - Bien la chienne ! Tu vas commencer ta journée par une punition. Je ne te félicite pas. Et il me tira jusqu'à la salle de dressage où je compris vite que j'allais y passer ma journée voire plus. Au centre de la pièce, il y avait deux anneaux scellés dans le sol. Walter me fit mettre à genoux entre ces anneaux, passa une corde autour de mes genoux qu'il fixa aux anneaux, m'attacha les mains jointes entre elles. Il fit descendre un crochet du plafond en ...
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