1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°881)


    Datte: 15/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... appuyant sur une télécommande et y fixa mes poignets puis il fit remonter le crochet jusqu'à me tendre comme un arc. Puis il vaqua à ces occupations sans aucuns mots à mon encontre. Au gong d'une horloge, je savais que j'avais passé plus d'une heure dans cette position douloureuse qui ne me permettait aucun repos. Pendant ce temps Walter installa face à moi un pilori, ce qui ne me disait rien de bon, me posa des bouchons sur les oreilles pour passer plusieurs coups de téléphone. Il m'enleva mes bouchons et sortit de la pièce. Pendant tout ce temps, seule je restais au début focalisée sur la douleur, à penser que jamais je ne pourrais tenir longtemps. Mais je finis par arrêter de lutter. La douleur était toujours présente mais je l'acceptais et cela rendit ma position plus facile à supporter. J'en ai profité aussi pour essayer d'analyser ce que je ressentais. Je ne pouvais ignorer la chaleur qui commençait à envahir mon bas-ventre. Être contrainte, être dressée m'excitait ! … 8h30 sonna lorsque le Majordome revint près de moi. - Bien je crois que tu auras compris que lorsqu'on exige que tu attendes à genoux, ce n'est pas pour que tu reposes tes fesses ! Je vais te détacher et on va passer à ton dressage. Tu cries trop, il faut que tu apprennes à te taire ! Il fit ce qu'il avait annoncé, il me détacha, mais je n'eus pas l'occasion de reposer ou d'étirer mes muscles douloureux. Car il me mena au pilori qu'il avait installé auparavant, me positionna les poignets et le cou dans ...
    ... les ouvertures prévues à cet effet et bascula sur eux la pièce en bois m'enfermant, toujours dans une position inconfortable. Les ouvertures étaient assez hautes. Je me retrouvais le torse parallèle au sol, les jambes écartées, les chevilles fixées au sol par des chaînes reliées à des anneaux, mon corps formant ainsi un parfait angle droit, mes trois orifices à la disposition de qui passerait par là. Je pensais que vu où se trouvait la salle de dressage peu de personne devait y venir... - Tu l'auras compris, aujourd'hui, quoiqu'il arrive, je ne veux pas t'entendre ! Sauf si tu es autorisée à jouir en criant par un Dominant ou une Dominante. Hummm, dit-il en passant sa main entre mes cuisses, c'est déjà bien humide... Comment résister ? salope ! Et il défit la ceinture de son pantalon, le baissa ainsi que son boxer sortit son sexe déjà droit et me pénétra sans préambule. De suite, ce fut rapide et sauvage. Walter me baisait bestialement, j'entendais ses couilles qui claquaient contre ma peau. C'était la première fois (mais pas la dernière !) que je me faisais prendre dans une telle position et cela stimulait des points que je ne connaissais pas et qui m'excitaient terriblement. Je ne savais pas si j'avais le droit de jouir, mais je sentais que je ne pourrais résister très longtemps. Ayant l'obligation de rester silencieuse, je ne savais comment faire comprendre au Majordome que j'étais sur le point d'exploser. Il tenait fermement mes hanches et donnaient de puissants coups de ...