1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°881)


    Datte: 15/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... reins sans ménagement. Il me possédait virilement, je sentais son épais et gros sexe m’envahir profondément, son gland cognait contre le fond de mon vagin. Une volée d’insultes tombait en même temps que des fessées tout en me besognant à grands coups de boutoirs quand soudain il se retira et se vida en longs jets sur mon dos. Et je restais là, frustrée et tremblante. - Eh non ! dit-il en ricanant vicieusement. Tu ne jouiras pas cette fois-ci, salope de chienne ! Maintenant, passons aux choses sérieuses. Ecoute-moi bien ! Si j’entends le son de ta voix, à chaque fin d’heure, tu recevras dix coups de fouet par nombre de fois où tu auras crié. Alors si tu ne veux pas avoir la peau en lambeau ce soir, je te conseille de te retenir ! La première volée de coups commença doucement au fouet, mais cela ressemblait plus à un échauffement. C’était excitant, ça chauffait la peau, sans faire vraiment mal, et mon bas-ventre réagissait délicieusement. Cela dura un quart d’heure, et après une pause de quelques secondes le fouet s’abattit rapidement et sèchement trois fois m’arrachant autant un cri de surprise que de douleur ! - La liste de sanctions commence, dix coups à la fin de l’heure ! Et il sortit. Peu après une soumise que je n’avais pas encore ...
    ... rencontrée vint, un bol à la main, et me fit manger comme un bébé, sans un mot. Quand j’essayais de parler, elle me posa un doigt sur la bouche d’un air suppliant. Je me tus donc. Elle attrapa ensuite une bassine, me la montra puis la plaça entre mes cuisses. Mais je ne pus pas me soulager de cette façon, pas devant une soumise que je ne connaissais pas (enfin même si je l’avais connu je n’aurai pas pu, pas sans la présence autoritaire du Maître ou d’un autre Dominant agissant sur Son ordre !). Alors avec un regard désolé, elle s’éloigna puis s’approcha par derrière et commença à me mettre une couche. C’était le summum de l’humiliation ! Et je ne pus empêcher des larmes de couler. Elle se posta à nouveau devant moi, me caressa doucement la joue et me posa un bandeau… J’entendis des pas s’éloigner, sûrement ceux de la soumise quittant la pièce. Soudain je poussais un cri en sentant s’abattre sur moi dix coups de ce que je reconnus être une badine pour en avoir reçu dans le bureau du Maître. - 20 coups à la fin de l’heure, raisonna une voix que je ne connaissais pas... Même si j’appréhendais grandement la fin de l’heure, et je ne puis expliquer la raison mais paradoxalement, je me mis à mouiller abondamment en entendant ces mots … (A suivre…) 
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