Le bonheur dans le pré
Datte: 15/07/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
campagne,
Collègues / Travail
amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
nopéné,
init,
... encore, pour le C… Je ne sais pas tout cela à ce moment, je ne fais que savourer ces tout petits chapeaux chinois, hérissés et tendus, que je suçote, avale, lèche, embrasse, savoure, qui se dégonflent sous la pression de mes lèvres et regonflent dans ma bouche. Je suis étourdi par ces mamelons magnifiques, gros comme mon petit doigt, dont le sommet presque plat est parsemé de papilles granuleuses sous ma langue. Le bonheur est dans le pré, les parfums de fleurs des champs et de sa peau m’enivrent, je suis le plus chanceux des gars, je tiens dans mes bras la plus belle, la plus douce fille du monde et ses seins sont pour moi. Je savoure, je me régale et surtout, par-dessus tout, je ressens le plaisir que je lui donne. Je lis sur son visage aux yeux clos désormais les ondes de plaisir qui la parcourent, bonheur serein et nouveau, sensations délicieuses qui lui dessinent un sourire d’une infinie douceur. Je continue à flatter les petits seins, en dessine les courbes diffuses, j’embrasse, suçote, agace, avale ces merveilleux tétons vibrants. Le corps d’Agnès se tend, et, pratiquement couché sur elle désormais, je glisse une jambe entre les siennes. Dans mon short, mon sexe tendu à l’extrême n’en peut plus de l’exiguïté du slip, ma verge appuie sur la cuisse d’Agnès qui ne peut pas ne pas la sentir. Mais emportée par la montée de son plaisir, la jeune fille est incapable d’esquisser le moindre geste, d’amorcer une quelconque fuite. Ma cuisse alors se cale entre les siennes, ...
... appuie sur l’entrejambe, force sur son sexe à peine protégé par le maillot. Ma peau ressent la chaleur moite de son sexe, mon genou se fait plus insistant, mes mouvements plus précis, alors que ma bouche continue à affoler les petites pommes reinettes. Agnès, les bras le long du corps, agrippe à pleines mains des touffes d’herbe. Elle a rejeté sa tête en arrière, au plus loin possible alors que ses épaules se soulèvent pour offrir toujours et encore plus ses seins impatients. Sa bouche est béante, ses lèvres contractées dessinent un O majuscule, l’heure n’est plus aux refus, les plaintes qui s’échappent de sa gorge traduisent les râles de plaisir. Soupirs d’aise et de bonheur, affolements grandissant sous les vagues du plaisir qui enflent, gonflent. Basculant dans l’abandon, Agnès écarte résolument ses cuisses et mes mouvements insistants lui donnent l’estocade. Traître, calculateur ou simplement prodigieusement amoureux, je choisis cet instant minuscule pour lui avouer mon amour d’une voix grave et profonde : — Je t’aime, Agnès. Écarquillant ses yeux jusque-là clos, Agnès se fige, son regard traduit une sorte d’étonnement ravi, de surprise indicible. Je réalise avec elle comme il m’a été facile de lui dire "Je t’aime", mais qu’y associer son prénom a rendu la déclaration tellement plus personnelle, tellement plus intime, complice, sincère, puissante. L’aveu en a été magnifié, sa sincérité rendue évidente, indestructible, inaltérable, tout simplement éternelle. La petite seconde ...