1. Le bonheur dans le pré


    Datte: 15/07/2018, Catégories: fh, jeunes, campagne, Collègues / Travail amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, init,

    ... immobile s’effondre soudain, les sens, par l’instant annihilés, reprennent le pouvoir et Agnès glisse brutalement dans l’orgasme. Portant ses deux mains au visage, elle tente à toutes forces de masquer son plaisir, mais son corps tout entier révèle son état : parcourue de frissons et de transes, Agnès jouit ! Profondément, intensément, merveilleusement. Ses mains savonnent son visage, son corps arc-bouté est tendu vers ce plaisir ravageur. La jeune fille halète, se débat, s’abandonne. Surpris par l’ampleur du phénomène, j’ai allégé mes pressions sur son sexe, abandonné même les petits seins dressés et contemple, ébahi, le spectacle fabuleux du plaisir féminin. J’en oublie mon propre sexe, douloureusement tendu et mes propres envies : ces halètements, ces frissons révélés, et le spectacle de la fille en transes qui désormais pétrit ses seins avec force et acharnement, me sidèrent et m’enchantent. Je ne suis pas peu fier de moi, heureux d’avoir su lui donner ce bonheur. Merveilleusement stupéfait, je m’extasie du spectacle, des transes ravageuses, des tremblements incontrôlés de son corps, de sa peau parcourue de frissons qui dressent le duvet de ses bras. Cette brutalité libérée, cette violence exprimée, alliées à cette béatitude irradiante, ce cataclysme voluptueux, cette explosion cataplectique me paraissent rejeter les soubresauts expéditifs de l’orgasme masculin au rang de bombinette artisanale. Et par-dessus tout, la grâce indicible qui magnifie chaque sursaut, chaque ...
    ... feulement, chaque frisson semble propulser ma vibrante gazelle dans une bulle de volupté et de simple bonheur. Dieu que c’est beau, une femme qui jouit ! Spectateur ravi, je ne reste malheureusement pas longtemps dans cet état de contemplation béate. Rattrapé par mon propre désir, j’observe le reflux du séisme, j’espère benoîtement les étreintes passionnées et les débordements fougueux qui ne manqueront pas de suivre, je calcule le plaisir qu’elle ne pourra pas refuser de m’offrir à son tour : le bonheur est dans le pré, les parfums de son plaisir m’enivrent, je suis le plus chanceux des gars, j’ai fait jouir la plus belle, la plus douce fille du monde et elle va me donner le bonheur que j’attends ! Mais alors qu’Agnès se calme peu à peu, je découvre ahuri des larmes perler de ses yeux clos. Plus elle se calme, plus je la sens me repousser, tant et si bien qu’elle finit par s’échapper. Elle est couchée sur le côté, je la vois se recroqueviller en position fœtale, fuir et refuser tous contacts. Les spasmes de son bonheur se sont mués progressivement en hoquets, en sanglots lourds. Totalement désemparé, je ne comprends rien à ce qui arrive, je voudrais la calmer, la consoler, la rassurer mais elle repousse violemment la main que je viens de poser sur sa hanche. — Laisse-moi, crie-t-elle avec violence, ne me touche plus ! Tout s’effondre autour de moi, mon cœur se serre, je réalise être aller trop loin, trop vite, l’avoir blessée, trompée, dupée. — J’avais dit NON, je ne voulais ...