Expérience à la montagne
Datte: 25/07/2017,
Catégories:
ff,
vacances,
froid,
intermast,
Oral
jeu,
init,
initff,
... rejoindre dans le bar lounge de l’hôtel. Elle était mince, élancée, habillée avec un jean slim noir, des talons et un top noir et blanc, sobre. Son mari était resté dans la chambre, prétextant des maux de tête. Sans doute avait-il abusé de vin ? Caroline voulut danser mais son amie ne souhaitant pas l’accompagner, je me proposai donc : — Moi j’ai envie de danser, je viens avec toi si tu veux. Elle me répondit par l’affirmative avec son sourire enjoué. On n’arrêtait pas de faire des aller-retour piste de danse, bar, pour boire des whisky-coca. Et l’alcool commença à me monter à la tête. Je m’amusais bien avec elle, elle était marrante et me montra des mouvements de danse un peu ringards mais je ris de bon cœur. Elle se rapprocha de moi et me demanda : — Tu ne veux pas qu’on sorte prendre l’air ? J’avais chaud, je n’eus pas besoin d’y réfléchir. J’acceptai sa proposition. On enfila nos vestes. Une fois dehors, on s’assit sur un banc, l’hôtel donnant sur les pistes, la vue était vertigineuse. Elle recommença à me parler de choses et d’autres, de sa vie, de son métier. Je buvais ses paroles, elle m’enivrait. Puis elle sortit un joint de sa veste. J’étais sidérée : comment une femme comme elle pouvait-elle fumer ? — Tu le partages avec moi ? me lança-elle d’un air amusé.— Oui, pourquoi pas ? La soirée prit une tournure bizarre. Elle l’alluma, fuma pendant trois bonnes minutes. J’attendis qu’elle me le passe mais, apparemment, elle n’avait pas la même notion du partage que moi… ...
... Elle aspira une dernière bouffée, mais ne l’expira pas. Je tendis finalement la main pour prendre le joint mais elle l’écarta de ma portée, comme par défi. Elle me sourit un instant, me regarda droit dans les yeux. Elle se rapprochait lentement de mon visage, et quand elle fut à quelques centimètres de mes lèvres, elle expira tout doucement. Voyant où elle voulait en venir, j’entrouvris la bouche. Je sentis la douce fumée m’envahir dans la froideur de la nuit. Elle effleura ma joue avec sa main libre, descendit vers ma nuque puis remonta vers mes cheveux où elle resserra son emprise. J’eus des frissons partout. Je sentis sa langue humide passer sur mes lèvres puis s’introduire dans ma bouche, pour entrer en contact avec la mienne. Elle était chaude. Tout cela avait l’air tellement naturel, je voulus lui montrer que j’appréciais. Je me penchai vers elle en m’appuyant tout doucement pour lui suggérer de se coucher. Je m’allongeai sur elle, passant ma main dans ses longs cheveux auburn. Je sentis ses mains tièdes sous ma veste, courir sur mon corps pour s’attarder sur mes seins, et elles descendirent lentement mais irrémédiablement vers mon jeans. Ce fut délicat, agréable et je n’avais jamais connu ce genre de douceur auparavant. Soudain mon téléphone vibra. Je me libérai à contrecœur de l’étreinte de Caroline. C’était mon père. — Olivia, où es-tu ? J’hésitai… — Je suis partie prendre l’air.— Toute seule ? Caroline m’embrassait dans le cou, j’eus du mal à paraître naturelle, elle ...