Expérience à la montagne
Datte: 25/07/2017,
Catégories:
ff,
vacances,
froid,
intermast,
Oral
jeu,
init,
initff,
... genou. Je remontai entre ses cuisses. Surprise, elle s’arrêta brièvement de parler puis reprit le cours de sa conversation. Je m’insinuai sous sa ceinture. Je guettai sa réaction. J’introduisis un doigt dans sa chatte tout en effleurant son clitoris. Elle trébucha sur ses mots. Je ne pus m’empêcher d’esquisser un sourire. Je continuai à la doigter. Cette belle femme mouillait de plus en plus. Les autres attablés ne se doutèrent de rien, ce qui rendit la situation encore plus excitante. Mais elle tint bon et le souper toucha à sa fin. Je voulais qu’elle jouisse là, maintenant, que son trouble soit plus perceptible. Je me penchai vers son oreille pour lui murmurer discrètement : — Je voudrais passer la nuit entière à t’embrasser partout, à te lécher jusqu’à ce que tu n’en puisses plus. Elle se crispa, retira ma main… — Pas ici ! soupira-t-elle. Je posai un de mes doigts humides sur ma bouche, je voulais qu’elle sache à quel point je la désirais. Elle me regarda faire, étonnée. Elle me donna rendez-vous dans un petit chalet, sur les pistes, le lendemain après-midi. Le lendemain, après avoir mangé avec mon père et mon frère dans un resto en altitude, je trouvai donc une excuse toute faite et je me rendis au petit chalet. J’étais un peu en avance parce que je ne savais pas exactement le temps que ça me prendrait pour parvenir à ce chalet. Il était bien isolé du reste des pistes et avait l’air inhabité. Je déchaussai mes skis, et m’assis dans la neige. J’attendis, un peu ...
... stressée, et je la vis arriver. — Alors, as-tu trouvé facilement ?— Non, pas vraiment, l’endroit est plutôt désert, c’est pas dangereux ?— Tu me trouves dangereuse ? (Encore en train de se payer ma tête…)— Ha ha, je voulais dire en cas d’avalanches ou quoi…— Ne t’inquiète pas ce chalet est très solide. Elle avait enlevé ses lunettes de soleil et se dirigea vers la vieille bâtisse, je la suivis. Une fois à l’intérieur, je refermai la porte derrière moi. Il faisait chaud, et pour cause, un feu de bois crépitait dans la cheminée. Y était-elle déjà passé ce matin ? — Qu’en penses-tu ? Plutôt cosy non ?— C’est très sympa.— Ça appartenait à mes grands-parents. Elle se rapprocha de moi, me prit par la taille. Je sentis son souffle chaud mentholé. Elle m’embrassa dans le cou puis sur les lèvres. Elle colla son corps contre le mien, je sentis ses seins contre les miens, elle me guida vers les divans sans décoller ses lèvres des miennes. Qu’est-ce que j’aimais ça ! J’enlevai mon haut, elle passa ses mains partout sur mon corps. Elle caressa la moindre parcelle de ma peau. Je fus bientôt nue, elle descendit, puis remonta à coups de baisers frais qui me firent frissonner. Je ne savais jamais prédire où elle allait. Je sentis ses cheveux balayer ma peau. Puis sa langue humide et pointue s’aventura entre mes jambes. Je perdis pied, je gémis, elle me lécha et je sentis en même temps ses doigts m’emplir. Je jouis, elle remonta vers moi, et on se blottit l’une contre l’autre, silencieuses. Une heure ...