Expérience à la montagne
Datte: 25/07/2017,
Catégories:
ff,
vacances,
froid,
intermast,
Oral
jeu,
init,
initff,
... m’excitait. — Euh… oui, j’arrive ! m’entendis-je répondre d’une voix perturbée. Je raccrochai. — Caroline, je…— Vas-y ! Je pensai à Charlie, je faisais exactement ce que je ne voulais pas qu’il me fasse. Je me levai brusquement, sans rien dire… Je la laissai là, sur le banc. Trois jours passèrent sans que je n’eusse de nouvelles de Caroline. Je l’évitais mais je ne pouvais pas m’empêcher de penser à elle et en même temps, je culpabilisais par rapport à Charlie. Les journées de ski étaient revigorantes. Charlie m’appela. — Salut Oli, comment vas-tu ?— Bien, et toi ?— Ça va, tu me manques un peu.— Toi… aussi, mentis-je. Je lui racontai mes journées en prenant soin de ne pas mentionner Caroline. Ce fut le seul coup de fil de lui que je reçus. On approchait de la fin du séjour. Caroline occupait toutes mes pensées, et j’élaborais un plan pour me retrouver seule avec elle. Je savais qu’à partir de 4 h, elle faisait une sieste, ses enfants étant à la garderie et son mari partant se balader pour acheter le journal et boire un café. J’allai donc frapper à la porte de sa chambre. — Qui est-ce ?— C’est Oli— Entre ! Je franchis la porte, elle était installée sur le lit, elle referma son portable et me dit le plus naturellement du monde : — Déshabille-toi !— Pardon ?— Je rigole, détends-toi ! J’étais toujours debout devant le lit. Elle s’approcha, s’assit sur le bord, face à moi, elle souleva mon pull et m’embrassa sur le ventre, un baiser tiède et humide. — Qu’est-ce qui t’amène ? Je ne ...
... sus quoi répondre. Elle recommença plus bas. Je n’osais plus bouger. — Ça te plaît ?— Oui. Elle continua à m’embrasser et tira ma jupe vers le bas. Elle effleura de ses mains mes lèvres à travers mon string. Elle m’attira contre elle, j’étais assise à califourchon sur elle. Je l’embrassai et je perdis le contrôle. Elle continua à me caresser, de plus en plus insistante. Puis elle s’arrêta net, se dégagea de moi, me dit avec un grand sourire qu’elle devait partir. — Rhabille-toi et ferme la porte en partant, me lâcha-t-elle finalement, et elle s’en alla. Je restais là un moment, pantoise. Pourquoi avait-elle réagit comme ça ? Je sortis de sa chambre et marchai vers la mienne, je réalisai que j’avais agi plus ou moins inconsciemment de la sorte trois jours plus tôt… Le lendemain soir, nos familles soupèrent de nouveau ensemble. Je m’installai expressément à côté d’elle. Elle se tourna vers moi et me demanda si j’avais passé une bonne journée. — Excellente ! Et toi ? (je ne voulus laisser apparaître aucun trouble).— Ça va ! J’ai quelques courbatures. As-tu eu tes résultats d’examens ?— Non, mais je pense que tout a bien été.— Et ton copain, tu as des nouvelles ?— Pas vraiment.— Pourquoi ? Quelque chose ne va pas ?— Je n’en sais rien, de toute façon j’ai quelqu’un d’autre en tête.— Tu as rencontré quelqu’un ?— Oui.— Où est-il ? Je haussai un sourcil. Elle comprit parfaitement. Elle commença à parler avec le mari de son amie et je profitai de ce répit pour glisser ma main sur son ...