De Papillon De Nuit à soumise (3)
Datte: 16/07/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... sera de les accueillir et de les distraire. Enfin, je pense que ce n’est pas la peine de te faire un dessin, tu comprends ? Je déglutis bruyamment en aquiesçant de la tête. — Oui, Maîtresse, j’ai parfaitement compris ce que vous attendez de moi, et je ferai de mon mieux. Mais il me faut vous avertir que personne n’est entré dans... mon... enfin, vous comprenez ? bégayai-je. — Dis-le ! Appelle les choses par leur nom ! me dit-elle fermement. — Eh bien, Maîtresse, personne ne m’a jamais... sodomisée, déclarai-je, rouge de honte. — Quoi, tu es vierge de ce coté ? demanda-t-elle avec les yeux ronds. — Oui, Maîtresse. — Oh, ben si ce n’est que ça, j’ai exactement ce qu’il te faut, ma soumise! me dit-elle en gloussant. Elle se leva et sortit de ma chambre. Je gardai ma position et la vis revenir avec un petit objet métallique ovale orné d’un bijou qui ressemblait à un saphir à son extrémité, ainsi qu’un tube qu’elle me tendit. — Tiens. Ça s’appelle un rosebud, et ça se place justement à cet endroit pour bien te préparer. Je vais te le mettre immédiatement en le lubrifiant bien. Allez, à poil, et à quatre pattes ! me dit-elle d’un ton ferme. dekdwwcu J’obéis, plutôt anxieuse mais excitée, sachant maintenant que j’aurais la protection de ma Maîtresse en cas de pépin ; ça ne pourrait être que bénéfique, et ça me rassurait. Elle mit du lubrifiant sur mon anus – c’était froid – et elle l’étala délicatement sur toute la partie sensible. — Je vais rentrer un doigt, alors ...
... décontracte-toi, m’annonça-t-elle doucement. Je sentis un doigt forcer mon intimité, mais aucune douleur ne fut ressentie. Elle voulait, je pense, se montrer rassurante, ce qui m’aidait un peu, Un second fit son entrée, mais un peu plus difficilement cette fois, et elle ne bougea plus. — Détends-toi un peu, sinon on n’y arrivera jamais ! dit-elle en me caressant les fesses. Je pris de profondes inspirations et commençai enfin à me décontracter, ce que ma Maîtresse sentit rapidement. Ses doigts se retirèrent de moi. Elle plaça l’objet métallique à mon entrée et je le sentis coulisser en moi. Je serrai les dents et me crispai un peu ; c’était assez froid, mais mon corps finit par l’accepter. Presque aucune douleur ne se fit ressentir. — Voilà ! me dit-elle. Tu vas garder ça jusqu’à ce qu’il te soit retiré. En attendant, essaie de dormir un peu, car tu auras besoin d’énergie pour ce soir. Je passerai à 18 heures pour que tu prennes une douche, et je t’aiderai à te préparer. — Bien, Maîtresse. Elle sortit de la chambre et je m’allongeai sur le lit. L’horloge au-dessus de la porte indiquait 15 h 24. La sensation du jouet en moi me parut étrange ; je me sentais pleine, mais petit à petit je finis par m’y accommoder. Je vérifiai qu’il n’était pas en train de ressortir, et finis par faire une petite sieste. Je fus réveillée a 18 heures précises par ma Maîtresse. Elle avait une robe noire très sexy fendue sur les côtés, des collants noirs avec des chaussures à talons aiguilles assorties. J’avais la ...