De Papillon De Nuit à soumise (3)
Datte: 16/07/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... bouche pâteuse, et la douche me fit du bien. Après, elle rasa mes poils pubiens afin de faire la meilleure impression possible et m’aida à enfiler ma tenue de soubrette. Après les derniers ajustements et avoir constaté que mon anus était toujours plein, elle m’interdit formellement le port d’un quelconque sous-vêtement, puis me maquilla les yeux juste ce qu’il faut. J’étais enfin prête. — Voilà, t’es à croquer comme ça, et je suis persuadée que tu vas faire ton petit effet, ma soumise ! me complimenta-t-elle. — Merci, Maîtresse. La sonnette de l’entrée retentit et elle alla accueillir ses invités. Je lui emboîtai le pas. Nous étions presque arrivées au salon lorsqu’elle me plaça dans un renfoncement juste avant l’accès du salon. — Reste ici afin qu’on ne te voie pas pour l’instant ; et quand je frapperai dans mes mains, tu feras ton apparition. C’est compris ? murmura-t-elle. Ensuite, présente-toi brièvement, puis improvise un petit mot pour leur souhaiter la bienvenue ; c’est important ! Je compte sur toi. — Oui, Maîtresse, murmurai-je. — Ne me déçois pas... me dit-elle en me quittant. Ils s’installèrent tous au salon, et le majordome leur servit des rafraîchissement. De mon côté, je tentais de réfléchir rapidement à ce que je pourrais dire, mais aucune idée ne me vint à l’esprit. Je décidai d’improviser une fois le moment venu. Les deux hommes étaient plutôt grands et ...
... assez mignons, l’un en costume bleu-nuit et l’autre en gris rayé. Ils n’avaient pas l’air de dépasser la quarantaine, je dirais, et ils semblaient assez costauds. Je restais cachée, obéissante, et j’entendais toutes les conversations. Je sentis une boule au ventre ; j’avais les mains moites et je commençais à transpirer. C’était sûrement dû au trac, mais je ne n’avais pas le droit de me défiler. Il était trop tard : je pouvais être appelée à tout moment, et ma Maîtresse comptait sur moi. Je ne voulais pas la décevoir. — Messieurs, pour la négociation de notre petite affaire pour laquelle vous êtes ici, j’ai pensé qu’un petit présent vous aiderait peut-être à faire pencher la balance de mon côté. Je sais que vous êtes sensibles aux petites attentions... — Tiens donc ! Et de quoi parlez-vous, très chère ? demanda l’un des hommes. — De ceci, dit-elle. Je l’entendis frapper deux fois dans ses mains et je fis mon apparition sans attendre, yeux et tête baissés. Des yeux ronds me fixaient simultanément, suivis de sifflements admiratifs. Je crus entendre un des hommes qui buvait son verre s’étouffer à moitié lorsqu’il me vit. — Messieurs, laissez-moi vous présenter ma soumise qui a pour objectif de bien s’occuper de vous durant notre soirée. J’espère qu’elle sera à votre goût. Elle est très docile et fera tout ce que vous exigerez ; vous verrez... dit-elle fièrement. Une suite ?