La folie du pleutre 12. Epilogue 1
Datte: 17/07/2018,
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Dans la zone rouge,
Résumé Par veulerie, j'ai voulu montrer un pourvoir, une personnalité qui me font défaut, à un inconnu rencontré dans le train, en lui offrant ma douce et belle épouse. Le résultat est allé bien au delà de mes calculs car Marion s'est donnée à mon insu à lui et à un complice. Dans cette trahison, elle s'est laissée prendre sans protection au risque de tomber enceinte et de mettre notre santé en péril. Caché derrière une glace sans tain, j'ai pu assister à l'abandon de ma femme. Notre couple fragile est en crise. J'étais complètement anéanti. Plusieurs mois ont passé. Les règles sont venues. J'ai pardonné. Je ne l'aime plus comme avant, mais je l'aime toujours. Petit à petit nous nous sommes retrouvés. Un soir, elle m'a tout avoué en larmes, se culpabilisant d'avoir failli me perdre, nous perdre. Elle a justifié ses paroles à mon égard par le fait qu'elle avait complètement perdu ses repères devant l'envie de se faire prendre à cet instant. Qu'elle avait vécu un enfer jusqu'à la libération des règles. J'y ai gagné aussi une chose : Marion consent de se laisser tripoter les seins, les fesses ou la chatte par des inconnus dans des endroits publics mais en ma présence. Pour ma seule jouissance. MOI : Je suis lâche, pleutre, obsédé par la beauté de ma femme. Candauliste, je l'utilise comme faire valoir auprès de ceux qui m'en imposent. Je suis timide. Elle est mon seul amour. MARION : Une très belle femme de 26 ans. Mais surtout beaucoup de grâce et de beauté, un visage ...
... angélique. Très timide, maladive même (bien plus que moi), tendance à la soumission (son peu de volonté l'empêche à résister à toute autorité). Je suis son seul amour. Épilogue 1 Les semaines qui suivent ses aveux se sont révélées être une période difficile de reconquête dans notre couple. Elle est très attentionnée et attentive à mes moindres demandes. Nous évitons de parler de ce qui apparaît de plus en plus nettement comme un écart de conduite et lentement, l'amour renait entre nous. Le temps passe, mais impossible d'effacer ce qui reste un crime conjugal dont nous sommes tous les deux coupables sous des aspects différents. Sa faiblesse de caractère l'amène toujours, et plus en cette période, à rechercher chez moi protection, soutien et absolution. Sa timidité reste presque maladive et je n'arrive toujours pas à comprendre comment elle a pu se laisser entraîner dans cette histoire de débauche. Marion accepte d'obéir et satisfaire mes pulsions, même les plus perverses. Tourmentée par le remord de sa débauche passée, elle s'évertue à me reconquérir et à se faire pardonner ses mensonges, motivée par la culpabilité qui la ronge. Elle multiplie alternativement les preuves d'amour et de soumission. Quelques aventures-débauches me confortent dans l'idée que ma douce me reste aimante… et fidèle. Mais si elle se contraint, elle ne participe pas vraiment. Rien à voir avec son comportement dans la boutique. Elle accepte à contre cœur, pour, semble-t-il me faire plaisir. Ou pour se faire ...