1. La folie du pleutre 12. Epilogue 1


    Datte: 17/07/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... plus lui suffire sexuellement et que son amour qu'elle me portait pourrait aussi disparaître, se volatiliser. Et laisser ces hommes se vider en elle sans aucune protection, se sachant féconde sans compter que rien ne prouvait leur bonne santé. J'avoue que j'imagine souvent de me retrouver derrière la glace sans tain à mater Marion, les jambes écartées et une bite d'un fort calibre lui ramoner sa chatte si délicate. La voir sucer l'énorme bite du noir, entièrement enfoncée dans sa bouche, les yeux remplis de larmes, alors qu'il lui plaquait la tête conte son ventre à lui faire manquer d'air et l'obliger à boire et avaler sa liqueur. Alors je me fais égoïstement jouir. Comme ce jour là, caché derrière cette glace qui me révélait la nature cachée de Marion et me la montrait s'adonner au stupre et à la fornication. En cet instant elle me trompait. Il m'apparait aujourd'hui de plus en plus évident que la position de cocu, loin de me laisser indifférent, devient le stimulus indispensable pour laisser exploser ma libido. Bien sûr savoir ma femme désirée, matée, tripotée, ne me laisse pas indifférent. Nécessaire mais plus suffisant. Comme un fantasme usé, épuisé, trop assouvis qui devient d'une banalité affligeante. Exhiber la belle et timide Marion ne me fait plus bander aussi profondément ! Triste réalité, peu glorieuse. En conséquence, aujourd'hui si je suis sûr qu'elle m'aime, j'ai besoin pour jouir que le doute sur la sincérité de ses sentiments me taraude. J'ai besoin d'être ...
    ... cocu, humilié… content. L'être aimé, objet de mes perversions m'est soumise et je veux en jouir et en profiter. Mais, complice de mes fantasmes, accepterait-t-elle aujourd'hui de satisfaire mes perversions de candauliste ? Se laisser prendre devant moi ? Mais surtout à mon insu ? Cette envie de la mater me faire cocu m'obsède de plus en plus. Plus rien d'autre ne m'excite autant. Je me devais de créer à nouveau la situation du magasin de vêtements. Et l'amour dans tout cela ? Aucun doute, nous nous aimons mais comme bien des couples avec nos jardins secrets. Et ceux de Marion m'obsèdent car je n'y ai pas accès, ce qui est naturel. On a un cœur public, un cœur privé et un cœur secret. Pour le cul c'est pareil. C'est tout cela qui me manque aujourd'hui. Je voudrais la pousser à me tromper à nouveau et que je puisse constater de visu son infamie. La pousser dans les bras d'un autre avec uniquement son propre désir de l'autre. La voir s'abandonner, se soumettre aux volontés d'un autre que moi et pourquoi pas, retrouver dans ses yeux ces regards qu'elle ne réservait qu'à moi. Des regards de femme amoureuse. Des accouplements mêlant sexe, perversité et sentiment amoureux. En écrivant ces lignes je bande et je suis prêt pour aller me branler, saoulé par des images plus vulgaires les unes que les autres. La voir plonger dans la fange, dans les bassesses les plus extrêmes. L'entendre dire des mots crus, supplier qu'on lui défonce le cul, la chatte. Et au final recevoir des giclées de ...
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