Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps
Datte: 25/07/2017,
Catégories:
ff,
amour,
volupté,
BDSM / Fétichisme
mélo,
... s’insinuer sous la ceinture de sa jupe portefeuille. Elle était douce cette main qui maintenant dégrafait la ceinture et ouvrait sa jupe. Mireille apprécia en connaisseuse le slip-porte-jarretelles de la même couleur que le soutien-gorge et les bas assortis. À travers la dentelle légère elle voyait le pubis gonflé couvert d’une luxuriante toison de feu. Mireille glissa sa main sous la dentelle. Le slip largement échancré ne protégeait pas beaucoup d’une telle tentative et Aline ne cherchait pas non plus à stopper l’invasion. Sous l’effet des caresses conjuguées des deux mains, les longues cuisses d’un blanc laiteux s’écartèrent laissant le passage aux doigts inquisiteurs qui prirent possession du mont de vénus. Le médius partit en avant et toucha la fente humide. — Continue, je t’en prie ne t’arrête plus ! supplia Aline.— Je ne crois pas que j’ai envie d’arrêter, lui répondit Mireille. Et pour confirmer ses paroles elle se mit à tapoter doucement de la pointe du doigt le clitoris qui pointait entre les grandes lèvres. Très charnu, le sexe offert avait des petites lèvres moins proéminentes que les siennes, mais il semblait plus épais. Une chose ne pouvait la tromper, c’était l’état de plaisir dans lequel se trouvait sa compagne. Visiblement elle en prenait beaucoup, ce qui n’était pas sans déplaire à Mireille. Ses doigts caressaient un sexe débordant de cyprine, et il lui venait l’envie de goutter ce beau fruit charnu qu’elle caressait si tendrement. Aline se laissait ...
... complètement aller à son plaisir et de sa bouche entrouverte sortaient soupirs, petits râles et gémissements qui allaient en s’amplifiant. Sa tête roulait doucement au creux des cuisses de son amie, ce qui provoquait chez elle à la fois une sorte de caresse douce et ferme, mais aussi une sorte de frustration car cette caresse était bien trop diffuse, pas assez localisée. Les doigts continuaient à s’agiter sous la dentelle légère, celle qui recevait les caresses écarta encore plus ses jambes de façon à permettre une prise de possession complète de son intimité. Mireille caressa plus vigoureusement ce qui lui était si bien offert et tenta d’introduire son médius entre les lèvres. Elle y parvint sans peine, provoquant sur le ventre d’Aline une houle annonciatrice d’un plaisir proche. De sa seconde main elle continuait à caresser les beaux seins de sa splendide amie. Ceux-ci devenaient de plus en plus durs de désir, les tétons saillaient, dressés au centre d’aréoles qui s’étaient contractées. Chaque fois qu’elle les effleurait, elle provoquait un gémissement plus fort et plus rauque que le précédent. La combinaison de ses deux caresses amena Aline au bord de la jouissance. D’un seul coup tous les barrages cédèrent et elle se mit à jouir, tout d’abord doucement, sans bouger, juste comme une plainte continue qui allait crescendo, puis brutalement elle cria sous l’effet d’une caresse encore plus appuyée de son amante. Elle serra violemment les jambes, emprisonnant au creux de son sexe la ...