1. On a aussi le droit de baiser quand on est gros et moche (5)


    Datte: 18/07/2018, Catégories: Hétéro

    ... moi, elle ne s’arrêta pas. Je la voyais regarder partout puis elle revint vers moi. — Excusez-moi, c’est vous Victor ? — Oui c’est moi. — Excusez-moi d’être passé devant vous mais je pensais …. — Vous ne m’imaginiez pas comme ça ? — Non. Vous m’aviez été décrit comme un jeune golden boy trentenaire … — …. Ce que je suis. — Je vous imaginais plus …. — Mince ? Beau ? Sportif ? — Si on veut. J’espère que je ne vous ai pas blessé ? — Non rassurez-vous. En tout cas, vous, vous êtes magnifique. Lui ai-je dit en lui faisant un baisemain. — Merci ! Vous êtes ….. gentil. — Bon, j’ai réservé dans un très bon restaurant pas loin. On y va ? lui ai-je demandé en lui tendant mon bras. Nous avons passé une très bonne soirée au restaurant. Toutefois j’avais bien vu que je ne semblais pas lui plaire. De plus, la prestation ne parle que d’un accompagnement. Si à la fin du repas, elle décidait de partir, elle en avait le droit. Il me fallait donctrouver un moyen d’attirer son attention. L’humour a été très utile pour détendre l’atmosphère. Elle était cultivée et je lui ai bien montré que c’était aussi mon gars, au cas où elle me prenne juste pour un bourrin qui ne cherche qu’un coup d’un soir. Ensuite, j’ai eu l’impression qu’elle avait été mandatée par sa patronne pour me soutirer des informations : genre « comment vous avez connu l’agence ? Qui vous en a parlé ? Qu’y cherchez-vous ? Avez-vous des liens avec la police ? ». Je lui ai servi mon histoire version Remi sans famille : le petit ...
    ... gros rejeté de tous qui cherche des amis puis plus tard une femme pour un moment d’affection …. Elle semblait émue et elle avait bien compris que je n’étais pas un tordu mais juste quelqu’un qui cherchait un peu de compagnie même tarifé mais avec un certain standing. Après le repas, je l’ai amené à ma voiture, une magnifique berline Allemande avec toute option. Elle a bien compris que je pouvais être un gros client chez eux et que je disposais d’un bon salaire avec, en plus, un bonus annuel qui n’est pas à négliger. Une fois dans ma voiture, elle m’a dit : « et si on buvait un dernier verre ? …. Chez toi ? ». Quand j’ai entendu ça, j’ai bien compris le message. Ça voulait dire « ce soir c’est cadeau de la maison ». Il était clair qu’elle avait été mandatée par sa patronne pour me convaincre de souscrire une carte de fidélité. Pour cela, elle devait avoir carte blanche. Qu’à cela ne tienne. On a filé chez moi et à peine avait-on franchi ma porte qu’elle m’embrassa et introduisit sa main dans mon pantalon. Visiblement elle avait mis sa gêne de côté. Elle était douce, câline et n’a pas perdu de temps pour se mettre à genou devant moi avec un sourire coquin pour me sucer. Bon sang ce que c’était bon. Elle savait y faire. Je me suis mis à l’aise jusqu’à ne plus porter que ma chemise. Je l’ai laissé faire un moment et je l’ai arrêté. Je l’ai entraîné dans ma chambre et là, elle a repris les choses en mains … au propre comme au figuré. Je me suis très vite retrouvé allongé sur le dos, ...
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