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Claude-Marie: Cahier 4
Datte: 18/07/2018, Catégories: Transexuels
... son clitoris. Je regarde entre ses jambes et la cyprine coule à flots. Elle chiale et se débat. Finalement, je décide de lui retirer son bandeau de sur ses yeux et la boule dans sa bouche. Dès lors, il est clair que ma mère est droguée. Ses pupilles dilatées et ses paroles désordonnées me confirment mon impression. Et visiblement, elle ne veut pas que je mette fin à mes caresses, mais elle est apeurée qu'on se fasse surprendre. Je comprends que Sarah l'a préparé pour cette situation. Je comprends que des hommes, des clients ou des amis, ce n'est pas clair, vont bientôt arriver. Et ils doivent trouver ma mère sur le lit comme elle était à mon arrivée. Elle tente de m'expliquer que la privation de ses sens est très érogène et que cela plait aux hommes qui veulent rester anonymes. -- Tu devrais demander au grand maitre dimanche, il peut te faire vivre cela. -- Qu'est-ce que tu veux dire maman? Est-ce que je vais rencontrer le grand maitre dimanche? Qui est-il? -- Tu le connais bien. Dimanche, nous avons une soirée importante. -- Qui est-il? Est-ce Max? Elle éclate de rire. -- Ils s'en viennent. Remets mes accessoires et va-t'en. Non! Attends. Masturbe-moi un peu plus s'il te plait. J'en ai besoin. S'il te plait ma chérie. Ma mère me semble délirer. Je replace la boule dans sa bouche et le casque d'écoute sans qu'elle ne puisse m'en empêcher. Puis je replace le bandeau sur ses yeux en prenant soin qu'il tienne solidement en place et qu'il obstrue complètement sa vue. Ma mère ...
... chiale comme un animal blessé. Par les mouvements de giration de ses hanches, je comprends ce qu'elle me demande. Je décide de ne pas lui donner ce qu'elle veut. De toute façon, elle va l'avoir quand les hommes arriveront. Je la regarde intensément en me disant que j'aimerais être à sa place dans un sens. M'abandonner au plaisir. Je glisse un ongle de son pubis jusqu'entre ses seins. Je vois qu'elle frissonne. Finalement, je décide de m'en aller. Quand je me retourne, je suis totalement surprise de voir une grande femme noire dans le cadre de la porte de la chambre. -- Qui êtes-vous? Qu'est-ce que... Elle m'observe en me souriant. Visiblement, je ne l'impressionne pas. Elle me bloque complètement la sortie. Elle est belle. Sa musculature est très développée. Elle porte une robe qui laisse voir ses cuisses puissantes et ses bras noueux. Elle porte des baskets. Ses cheveux blancs qui sont très courts et très bouclés laissent voir son scalp. Ses dents sont tellement blanches. Elle porte des gants luisants noirs qui lui couvrent les poignets et moulent parfaitement ses mains. Elle porte un gros sac noir à l'épaule. Elle prend tout son temps avant de me répondre. -- Ma petite tu n'as pas d'idée de ce que tu viens de faire. Suis-moi. Elle m'entraine dans un coin de la chambre où il y a une chaise droite qui m'attend. Elle dépose son sac à côté de la chaise et en sort quatre bandes de soie noire. -- Assis-toi. Je comprends, à son air, que je ne dois pas m'objecter. De toute façon, j'ai ...