Enfin libre - Histoires de Sexe

Enfin libre

... d’une de mes maîtresses, que je veux garder pour la nuit suivante. Toute la matinée j’ai réfléchi à cette fille. En rentrant à midi, je la trouve attablée pour le repas. C’est vraiment une gamine. Je vais me laver les mains, Sabine me suit. — Mais c’est une enfant, tu ne peux pas la garder— Je l’ai trouvée devant la porte hier au soir, elle dormait mais se gelait. Alors je lui ai donné une chambre des filles. Ce soir, je vais lui parler en particulier. Il faut qu’elle me donne le téléphone de ses parents et je verrai avec eux comment régler le problème.— Remarque, elle ne me dérange pas, elle est chez toi. Mais je ne voudrais pas que tu aies des ennuis à cause d’elle.— Sois tranquille, je ne veux pas aller en taule pour cette gamine. Au cours du repas, j’ai pu obtenir son nom : Sophie Dupuis. Mais en dehors de ça, elle n’a pas prononcé une parole. Elle est fine et belle, une magnifique femme malgré son jeune âge. Il y a dix ans, je l’aurais volontiers sautée. Après le déjeuner, je l’amène dans ma chambre. Je vois de la crainte dans ses yeux, elle pense que je vais la violer. — Je t’ai amenée là pour que l’on puisse discuter tranquilles. Tu m’as dit t’appeler Sophie Dupuis, mais tu vas me donner le téléphone de tes parents. Je leur parlerai et nous verrons comment régler ce problème. S’il le faut, j’accepterai de te garder quelques jours, mais je ne te baiserai pas. Alors dis-moi.— Non, sinon ils viendront me chercher.— Si tu ne veux pas me renseigner, il ne me reste ...

... qu’une alternative, ou te mettre dehors ou bien avertir les flics. Tu auras au moins passé une journée au chaud, pour la suite, tu te démerderas.— Non, mais laissez-moi leur téléphoner, seule, sans que l’on m’écoute, je voudrais seulement les rassurer. Mais je ne veux pas rentrer de suite.— Et tu comptes vivre où, en attendant ? Ici, ce n’est pas une pension de famille. Je m’en fous du pognon, mais surtout je ne veux pas d’ennuis. Tu m’as dit que tu étais majeure, mais j’en doute. Et je ne veux pas aller en taule pour pédophilie. Bon, tiens mon téléphone et viens me prévenir quand tu auras fini. Nous pourrons discuter. Je la laisse seule et vais dans la cuisine. Cinq minutes plus tard, elle vient me chercher. Nous retournons dans la chambre. — Alors, qu’on dit tes parents ?— Je les ai rassurés, surtout mon petit frère. Mais je ne leur ai pas dit où j’étais. Ma mère demande si vous pouvez me loger quelques jours, jusqu’à ce que vous trouviez une solution. Elle vous dédommagera.— Mais il faut que je lui parle. Je veux bien attendre un peu, si nécessaire, mais j’espère que ce ne sera pas trop long. Je suis allé retrouver Sabine et lui raconte ce qui vient de se passer. Elle est rassurée et accepte de loger cette petite. Le soir, après dîner, nous montons, je lui donne la même chambre que la veille et la clé pour s’enfermer si elle le désire. Puis, je regagne mon logis. Je mets du temps à m’endormir quand soudain mon portable sonne. Il est onze heures, qui vient m’emmerder de cette ...