1. Honni soit qui mâle y pense


    Datte: 21/07/2018, Catégories: hh, BDSM / Fétichisme massage, intermast, Oral hdanus, hsodo, uro,

    ... un petit tremblement dans la voix qui trahissait tout autre chose qu’une simple plaisanterie : « Si ça te manque, ne te gêne pas, j’adore les massages ! Moi aussi, ça m’endort ! » A ce moment-là, je n’eus plus aucune idée claire, sauf une : prendre l’invite au bond, sans lui laisser le temps de revenir sur ce qui n’était peut-être qu’une plaisanterie sans portée. « Ok, très bien, tu vas voir ce dont je suis capable. Mets-toi sur le ventre… » Christian ne se fit pas prier. Je me plaçai à califourchon sur le haut de ses cuisses et me mit à lui masser les épaules et le dos, avec une application presque professionnelle. Mes mains pétrissaient avec soin chacun de ses muscles, et je continuai la conversation à voix basse. Ouf, me voilà rassuré, je ne suis pas homo : je m’acquitte de ma tâche avec conscience, certes, mais sans trouble majeur, sans doute parce que la gêne l’emporte sur tout le reste. Et puis, dans la faible clarté de la chambre, la blancheur de sa peau, qui dans la cuisine avait commencé à me brouiller les idées, n’apparaissait plus guère. Bien sûr, le caleçon y est pour beaucoup… Je préfère ne pas avoir à imaginer les fesses blanches qui s’y cachent… Au bout de quelques minutes, pourtant, l’inquiétude revient. Je me suis cantonné au dos et aux épaules, mais mon regard s’attarde de plus en plus sur les hanches. Faut-il ? Ne faut-il pas ? Peut-être devrais-je lui masser les fesses, qu’est-ce que je risque ? Sans doute ne m’arrêterait-il pas, si j’en crois son silence ...
    ... approbateur : il a l’air d’apprécier, le filou. Mais je n’ose pas, car je sens au fond de moi que si je commençais à aborder cette région, la tentation serait grande de baisser le caleçon pour des découvrir de belles fesses rondes et blanches… Qu’est-ce qui me prend de penser à ça ? Des fesses d’homme ? Mais est-ce ma faute s’il est si fin, si doux ? Mince, il faut que je me reprenne. Toujours à califourchon, je me retournai pour changer le théâtre des opérations, persuadé que le risque était écarté une fois que je n’aurai plus cette tentation sous les yeux. Avec mon bras droit j’allai chercher un des pieds de Christian. Nathalie adorait les massages du pied, pourquoi pas lui ? De quoi fus-je frappé en premier ? Je crois qu’il y eut d’abord, lorsque ce pied s’approcha à une dizaine de centimètre de mon visage, une odeur à laquelle rien ne me préparait. Une odeur pas très forte, puisqu’elle n’était perceptible qu’à une faible distance, mais qui me prit au dépourvu, et qui pénétra si violemment en moi qu’après un imperceptible mouvement de recul, je fus saisi d’une épouvantable érection. Etait-ce bien moi ? N’étais-je pas en train de rêver ? Mais ce n’était pas tout un rêve : aussitôt que je sentis dans mon corps ce désir inconnu je fus à la fois pris de panique et comme envoûté. Au lieu d’écarter cette tentation, je rapprochai ce pied de mon visage. Je pris le temps de l’observer et mon trouble ne fit qu’augmenter : était-ce vraiment un pied d’homme ? Je n’en avais jamais vu ...
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