1. Honni soit qui mâle y pense


    Datte: 21/07/2018, Catégories: hh, BDSM / Fétichisme massage, intermast, Oral hdanus, hsodo, uro,

    ... sens, ça me rassure…— Pourquoi dis-tu que ça te rassure ?— Parce que je m’interroge moins sur mes propres tendances. Ce que j’aime en toi, c’est finalement le féminin… Christian ne put cacher une certaine ironie en répliquant : — Et depuis cinq minutes que tu me caresse la queue, c’est aussi la femme que tu cherches ? et tout à l’heure, quand tu m’as dévoré le sexe, c’est la femme que tu cherchais ? Là, j’avoue que je ne sus que répondre : j’étais piégé. Mais il eut l’élégance de ne pas pousser son avantage. Il se retourna vers moi et me dit, d’un ton qui restera à jamais gravé dans mes archives érotiques : — Ne t’inquiète pas, que tu me désires parce que je suis un homme ou parce que j’ai une femme en moi, ça m’est égal, tout ce que j’aime, c’est que tu me désires. Sans limite. Je veux être à toi, je veux être ton mignon. Tu as bien compris, tu peux faire de moi ce que tu veux. Je ne te refuserai rien…— Merci Christian, ça me touche beaucoup, et je risque d’en abuser si tu es toujours aussi délicieux… Finalement, si je comprends bien, te voilà déjà l’amant du mari et bientôt l’amant de l’épouse ? Tu désires toujours Nathalie, n’est-ce pas ?— Plus que jamais. Je vous veux tous les deux. Tous les deux, répéta-t-il de son petit air angélique. Le lendemain matin fut étrange. Nathalie se réveilla en même temps que nous, avec le soleil qui pénétrait dans la pièce. Curieuse sensation de lui cacher quelque chose. Le petit déjeuner se passa dans un relatif silence, puis Nathalie ...
    ... m’annonça qu’elle voulait passer la journée un peu seule : « Demain, je serai mieux disposée, tu comprends mon chéri ? J’ai besoin de cette solitude aujourd’hui… » Et moi, j’eus presque honte de réprimer, pour la première fois, un mouvement de joie : car la perspective de me retrouver seul, toute la journée, avec le beau Christian ne m’effrayait plus, mais alors plus du tout… À neuf heures, Nathalie sortit. Nous étions encore, Christian et moi, en caleçon : nous nous sommes regardés avec un sourire. Christian s’approcha de moi, se colla contre moi : « Je suis sûr que ce petit déj ne t’a pas rassasié… Alors, viens, suis moi. », dit-il en me prenant par la main. Moi je ne pouvais détacher mes yeux de son beau corps de blond, si mince, si délié, et je bandais déjà sans même savoir ce qu’il préparait. Il entra dans la cuisine, se colla contre moi. Je fis descendre son caleçon. C’était la première fois que je voyais sa nudité en plein jour. Ciel, qu’il était beau à la lumière ! La blancheur de ses fesses était plus éclatante encore parce qu’elle formait un contraste avec un léger bronzage du reste du corps. Je n’avais pas vu le meilleur. Christian s’allongea sur la table, et je vis alors ce splendide corps étalé de toute sa longueur. « Je t’ai dit que j’étais ta putain… Aujourd’hui, je suis ton petit déjeuner… Sers-toi donc… » « Espèce de jeune diable, tu veux donc m’ensorceler ? lui répondis-je. La vue de tes fesses me rend dingue ! » Il me regarda d’un air mutin : « Je suis ta ...
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