Honni soit qui mâle y pense
Datte: 21/07/2018,
Catégories:
hh,
BDSM / Fétichisme
massage,
intermast,
Oral
hdanus,
hsodo,
uro,
... tartine. Beurre-moi ! » Lui, que j’avais connu si réservé, tout à coup, ne connaissait plus de limite… Et moi non plus : comme sous hypnose, je me transformai en maître et esclave de ce corps. Le beurre était déjà bien fondu sur le plat. J’y trempai carrément mes mains, qui devinrent grasses, et je les passai avec un incroyable plaisir sur le dos, puis les fesses de Christian, comme pour prolonger le massage de la veille. Lui se laissait faire – oh, quelle délicieuse passivité ! – ; mon sexe était gorgé, tout plein de lui, de ces rondeurs sur lesquelles ma main ne se lassait pas de repasser. Je retrempai régulièrement mes mains dans le beurre : mais au bout de quelques minutes, j’allai plus loin, j’allai où il attendait que j’aille. Mon majeur bien gras s’enfonça profondément dans son anus. Il se poussa un petit cri de surprise ; avec ma main gauche, je saisis sa queue – cette queue pour laquelle je me passionnais étrangement. Je me mis à le branler d’abord tout doucement, actionnant mon doigt dans son anus de plus en plus souple et accueillant, caressant de ma main droite ce sexe tout près d’exploser sous mes va-et-vient. Il était à ma merci. J’aurais pu, je le sais le faire jouir ainsi, quelques minutes auraient suffi pour que ses halètements prennent fin… Mais j’avais décidé d’aller jusqu’au bout. Je retirai mon doigt, me plaçai derrière Christian. J’écartai ses somptueuses fesses blanches, luisantes, toute couvertes de la trace de mes caresses : je me mis à lécher ...
... patiemment, amoureusement, ces fesses. Le goût du beurre se mélangeait délicieusement à l’odeur du corps. Ma volupté s’accrut lorsque je portai ma langue entre ses deux fesses, désireux de ne pas laisser échapper la moindre trace de ce divin petit déjeuner. Je pointai ma langue vers son anus ; je le sentis gémir et se tordre à ce délicieux contact de nos intimités. Ses fesses étaient trempées de ma salive. Je rapprochai mon gland. J’allais commettre l’irréparable, je le savais bien. Un petit moment d’anxiété en voyant la grosseur de mon gland s’approcher de la jolie petite rosette qu’il me tendait comme une catin… Oserai-je, saurai-je, pour la première fois ? Un premier mouvement : je pénétrai d’un ou deux centimètres, fis une pause, car l’émotion était forte. « Comme tes fesses sont belles, mon amant, comme j’ai envie de te faire l’amour ». « Vas-y, je t’en prie, je n’attends que cela, prends-moi, prends-moi, c’est pour toi ! », cria-t-il. Je m’enfonçais de moitié dans son anus. Il cria, cria comme une pucelle. « Encore, dit-il essoufflé, je t’en prie, défonce-moi ». Je ne me possédais plus. J’enfonçai mon membre jusqu’à la garde. Je sentis alors une délicieuse sensation de chaleur, inouïe, mon sexe gonflé à bloc prisonnier d’un écrin, serré à en crever dans ce petit cul qui se contractait. Je ne rêvais pas. Je restai un moment immobile, tant c’était bon, tant la sensation était neuve. À chacune des contractions de son anus, je devais me retenir pour ne pas tout lâcher dans son ...