dayouth
Datte: 21/07/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... que j’allais faire un peu de vélo, pour m’entretenir, jusqu’à midi. Je ne l’ai pasregardé dans les yeux, je ne pouvais pas. Dès lors, il ne se cacha plus, ne se gênaplus. Elle eut ses règles et se refusa à l’un comme à l’autre, comme d’habitude, pourse ratt****r ensuite avec ferveur. Elle aimait ça, ne s’en cachait pas, et convainquitAbdelkader, réticent au départ, de me laisser parfois les regarder quand vraiment j’enavais envie. Ce fut plus torride que tout ce que j’avais imaginé. Ma belle petitejeune femme nue contre cet homme un peu ventru, bien conservé à part cela, auxétonnantes couilles velues pendantes qui produisaient en quantité industrielle unsperme épais que le vagin étroit de Akila, saturé, expulsait rapidement etabondamment, et qui se répandait sur la serviette sous ses fesses. Elle était excitée,jouissait à répétition, bien plus qu’avec moi je devais bien me l’avouer. J’étaisfasciné par son sexe pénétré, ses lèvres velues dessinant un O autour de la grossebite d’Abdelkader dont les grosses couilles balançaient lourdement sous lui. Il l’abaisait en me disant : Chouh yal 3attay, chouf kifach erdjal inikoulek mertak yaettahan. Tous mes sens étaient à la fête, la vue bien sûr, même l’odeur sidélicieusement musquée de l’amour, et plus encore l’ouïe enchantée par les sonsqu’elle produisait en faisant l’amour : elle respirait fort, bruyamment au rythme oùon la prenait. Akila me regardait droit dans les yeux en disant : Tamtuut-ik d lqahban wa3ravec a nadir, akka i ...
... dirgaze nagh !!! Tefkam tilawin nwenn iwa3raven atentteqqun…. D netta i d argaz-iw tura a cmata a l3ar n yergazen. À chaque expiration, unpetit son plaintif et parfois un « oui » murmuré. Quand son plaisir montait, desgémissements brefs accompagnaient le rythme jusqu’à un plainte continue annonçant sonorgasme couronné d’une longue plainte aiguë, accompagnée de spasmes et de tremblementsde son menton. Elle préférait de loin la position du missionnaire, lui permettant sonjeu favori d’embrasser à pleine bouche. En levrette, elle lançait souvent une maincherchant à toucher celles posées sur ses flancs ou ses hanches.J’aimais la prendre ensuite, souillée, et laissait la place à Henri quand il envoulait encore. Elodie était aux anges : être prise ainsi plusieurs fois de suite luiprocurait des orgasmes à répétition : Ferragh fi kerchi Abdelkader, rekkeb-li ldjoufou radjli ichouf…. La serviette était parfois à tordre et… nous ne payions plus deloyer. Après trois mois de chômage, elle retrouva un emploi de comptable, bien payé,dans un grande entreprise nationale. Notre vie sexuelle ne s’assagit pas pour autant.Ce qu’elle ne pouvait plus faire le matin, elle le refaisait au moins deux soirs parsemaine, parfois avec nous deux, à la file. Akila n’avait pourtant pas changé. Ellerestait cette adorable épouse, tendre, affectueuse, complice, pleine d’humour etadorant le mien.C’est alors qu’un soir où exceptionnellement elle avait repoussé Abdelkader venus nousrejoindre dès notre arrivée en lui ...