1. dayouth


    Datte: 21/07/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... fouetté,et a définitivement dissipé toute cette angoisse paradoxale qui étouffait une foisencore mon excitation. Je l’ai prise le soir, et surtout le matin avant de partir.Elle allait juste après faire l’amour avec Abdelkader qui piaffait d’impatience enattendant de prendre ma place toute chaude, le salaud, l’Arabe. Il va prendre mafemme. C’est moi qui l’ai épousé et c’est lui qui va la niquer. Et je voulais qu’ellegarde les traces de moi. C’était stupide, mais je l’ai voulu comme ça.Ce fut la semaine la plus étrange de ma vie. Je vivais un peu cela comme un rêve.Akila a reçu Abdelkader chaque matin, et deux après-midi juste avant que je ne rentre.Moi qui croyais qu’à partir de quarante ans on ne pouvait plus souvent ! Chaque midi,elle me téléphonait et me racontait ce que je voulais qu’elle raconte, pudiquement oucrûment selon mon degré d’excitation, c’est moi qui décidais.Le lundi soir, elle était venue me chercher au travail après son entretien. Elle m’aserrée fortement et j’ai éprouvé un sentiment très étrange de sentir ce corps si connuet si adoré, que je savais avoir été possédé le matin même, pour la première fois, parun quinquagénaire viril qui l’avait souillée. Elle serrait tendrement son cocu de mariet j’ai eu terriblement envie d’elle.Le plus bizarre fut le premier soir où je rentrai juste après qu’Abdelkader aitregagné son appartement. Il m’évitait en disant à Akila : « je ne veux pas rencontrerle tahan pour l’instant ». Pourtant elle lui avait dit que j’étais ...
    ... d’accord et quecela m’excitait qu’elle me fasse cocu avec lui. Elle était encore au lit, nue, uneénorme tache s’étalant sur le drap entre ses cuisses ouvertes et me tendait les bras.Son sexe velu, sa belle toison noire était totalement engluée d’un sperme épais quicontinuait lentement à s’échapper d’entre ses lèvres. Même dans les films X, jen’avais jamais vu ça. Cela aurait dû me dégoûter, mais c’était là le même cadeau quej’avais fait lundi matin à Abdelkader, que cela n’avait visiblement pas gêné. Ça m’aviolemment excité. Je me suis allongé sur elle, nous nous sommes longuement câlinés,puis je l’ai fait parler pour faire taire cette angoisse stupide qui à nouveaum’envahissait et affectait mon érection. Enfin, n’en pouvant plus, je l’ai pénétrée,souillée, inondée et l’ai pistonnée comme un fou. Elle gémissait vivement, ses douxgémissements émis au rythme du bruit de clapotis que faisait mon membre dans son vaginplein de sperme. J’y ai ajouté le mien, puis suis allé me doucher, en proie à ces vifssentiments paradoxaux qui ne m’ont pas vraiment quitté de la semaine.Akila m’a fait rire en m’exhibant en fin de semaine l’épaisse serviette qu’ellen’oubliait plus d’utiliser pour mettre sous elle, pour éviter de changer chaque jourles draps, toujours son sens pratique. Elle est vite devenue la « servietted’Abdelkader ».Je n’ai vu Abdelkader que le Vendredi matin suivant, en lui rendant visite. Un peuinquiet de m’apercevoir en ouvrant sa porte, je l’ai rassuré d’un sourire et lui aidit ...
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