1. dayouth


    Datte: 21/07/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... ou c’est ma seule beautéqui t’inspire ?— Ta beauté ma chérie… Fis-je sans convictionElle tendit la main et se saisit de mon membre dressé.— J’ai lu récemment qu’il y a des hommes qui rêvent d’être cocus, que leurs femmessoient infidèles et même qui les poussent à avoir des amants… Peut-être es-tu un deceux-là ?Elle sourit.— Je vois que ça t’excite quand je te dis être ta putain, « nekkini d lqahba inek » ouquand je te dis qu’Abdelkader me touche les cuisses, ce qui n’est pas grand-chose. Adi yeqqu waarav a nnagh, keccini d cmata, limer zik ad kenghen sut taddart ay atehan.Je n’utilise pas beaucoup de mots crus comme toi parfois, mais quand je te dis « cocu» ou je me dis « putain », tu aimes, tu bandes ! Qui sait, tu as peut-être envie de meprendre au mot ? Dis-moi, tu aimerais que j’aie des amants, que je couche avecAbdelkader ou avec mon oncle, réellement ? Ou mon très séduisant patron, Allaoua quime fait les yeux doux comme je te l’ai déjà dit ? Il veut que je le suive à Tiaretpour un séminaire de la SONATRACH. Tu aimerais assister, ou tu préfèrerais plutôt queje te raconte ?, ou bien que je te dise simplement que je me débauche avec mes vieuxamants cochons, ou même que je le fasse sans rien te dire ? Ta jalousie, pourquoi ellene fonctionne pas quand Abdelkader glisse sa main sous ma jupe, ou quand je te disêtre toujours excitée par mon oncle ? Inid, inid ay tehhan siked ar wallen-iw, iniyidma d akka i tevghid ad tili tamettut-ik !Elle parlait vite, les questions succédant ...
    ... aux questions. Je ne savais pas quoirépondre. J’avais très envie qu’on corse notre sexualité, qu’elle joue avec ceshommes. Peut-être le fait qu’ils soient vieux ne me gênait pas, alors que j’aurais étéécarlate de jalousie avec des jeunes ? Elle attendait une réponse. J’étais persuadéqu’elle en avait envie, même inconsciemment, ces fantasmes étaient forts, constant etelle en parlait. J’ai poussé ma caresse et mon doigt glissait contre son sexedélicieusement inondé.— Je ne suis pas jaloux d’Abdelkader… mais de ton oncle. Peut-être parce qu’il medéteste ? En fait, c’est lui qui est jaloux de moi parce que je t’ai épousée. Il n’aqu’à oser pour te cueillir ? C’est bien ça non ?— À la différence que je suis mariée, amoureuse et fidèle… Je suis une putain oui,mais sans client, « ta » putain. Ce n’est pas à moi de chercher des clients, mais àtoi si ça t’excite vraiment d’être mon petit « cocu » chéri… puisque tu aimes ce mot.Une fois encore, elle me cloua le bec en m’embrassant goulûment. On tournait autour dupot depuis un moment, mais là, elle venait de se dire prête à franchir le pas si je levoulais. Pour échapper à une réponse qui me faisait peur, je l’ai prise avec vigueur,et on s’est étourdis.J’avais conscience d’être lâche, de ne pas assumer mes désirs fous. Nous continuâmesnos jeux coquins, nos délires sans revenir trop près en parole d’un passage à laréalité pour ne pas avoir à nous retrouver à nouveau devant une décision. Abdelkadervenait chaque soir, et lorsqu’il pleuvait ...
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