dayouth
Datte: 21/07/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... et que nous ne sortions pas le week-end, ilpassait désormais une heure l’après-midi pour boire un café disait-il, peloter Akilatraduisais-je. Il devenait de plus en plus audacieux lorsque je m’éclipsais. Akilacontinuait à le retenir sans vraiment le repousser. Elle m’a dit avoir été enlacée àplusieurs reprises et avoir nettement senti son érection._Yekkeras d webbuc-is, yerrayit id ar u3abud-iw …Lorsque soudain la broîte la société de Akila (SONATRACH) la licencia, ce fut d’abordun coup pour notre équilibre. Très affectée, elle promit de s’activer pour chercher unnouveau travail, et je la savais compétente, débrouillarde, mais je savais surtoutqu’elle allait être plus présente chez nous, donc sans moi, à la merci d’un vieuxcochon opportuniste, et elle aimait les vieux cochons.Abdelkader feignit d’être affecté, certainement ravi au fond de lui, et dit de ne pasnous inquiéter pour le loyer. Ses propos me revenaient en mémoire… En y réfléchissant,cette catastrophe n’était pour moi que matérielle. J’avais envisagé d’économiser pournous construire au plus vite une maison, et la perte du salaire de Akila necontrariait en fait que cela. On avait le temps finalement, et j’ai relativisé. Pourle reste, je me surpris à penser qu’il allait enfin se passer quelque chose à laquelleje n’avais pas osé dire oui, mais que je souhaitais au fond de moi. Bizarrement,bêtement peut-être en raison du risque de corrompre ma jeune mariée adorée, mais celam’excitait, je devais me l’admettre.Akila ...
... consacra sa première semaine de chômage à démarcher les entreprises locales, etprofita de sa présence en ville pour venir me chercher au travail. On rentraitensemble et ABDELKADER n’eut pas le loisir d’en profiter pour se manifester. Je le fisremarquer un soir à Akila.— C’est mieux comme ça, non ? On rentre ensemble. Si je rentre avant toi, il vasûrement se précipiter… mais c’est peut-être ce que tu désires, me savoir seule aveclui ? Dis-moi…— Eh, tu veux une autorisation ? Fis-je amusé— Ay aghyul ! lança-t-elle. Mon mari est un idiot, hi, hi ! Je suis toujours ta femmefidèle, non ? C’est le rêve de tous les hommes, non, à moins que ce que j’ai lu surcertains d’entre eux… ?— Ceux qui aimeraient que leurs petites « putains » les fassent « cocus »… En ilfaudra bien payer le loyer d’une manière ou d’une autre… et Abdelkader se montre siconciliant.Elle eut une expression très coquine.— Et tu vois ça comment ? Tu veux que ta petite femme se prostitue ? Qu’Abdelkaderdevienne mon client et me paye en oubliant de demander le loyer ? Tu veux que je fassela putain, dis-moi…— Tout dépend si tu en as vraiment envie…— Non, dis-moi toi, ce que tu as envie que je fasse.A nouveau son regard de braise me transperça. Ce qui me plaisait en elle, c’est qu’iln’y avait jamais de faux semblant. Elle était nature, directe, franche. J’imaginais majolie et jeune épouse écrasée sous le poids du propriétaire, à recevoir son sperme enpaiement d’un loyer qu’on ne pouvait plus payer. Et je bandais !— Au risque ...